Troublante Marie (1)
Datte: 17/11/2017,
Catégories:
Hardcore,
Lesbienne
Masturbation
... ses taches de rousseur sont restés intactes.« Je vais te faire couler un bain, tu dois en avoir autant besoin que tes vêtements » lui dis je en me levant de mon fauteuil.Lorsque je revient, Marie dort, la digestion du petit déjeuner utilisait le peu de forces qui lui restait. Je la secouais mais rien à faire, je du me résoudre à la déshabiller.Si les premières couches de vêtements étaient sales, les suivantes furent odorantes, ça sentais la sueur, le confiné, de plus en plus rustique, encore un t-shirt et j’arrivais à sa poitrine sans soutien gorge, son pantalon avait des relents d’urine autant que son collant à trou et sa culotte qui à été blanche certainement un jour était irrécupérable et pour ne pas avoir pu entretenir le bas de son corps, les poils avaient repris possession des lieux avec vivacité. Je constatais aussi des ecchymoses du violet au jaune sur ses jambes et une vilaine blessure dans le bas du dos.Je trouvais plus pratique de me déshabiller pour donner son bain à ma nouvelle protégée et entrais dans la baignoire derrière elle la glissant entre mes jambes, sa tête sur ma poitrine, elle eut un bref réveille tout en amabilité.« Hô nan, c’est pas le moment »« Si lui dis je , t’es sale et tu pus, c’est la baignoire ou le trottoir, choisi »je savonnais son corps délicatement en m’attardant sur ses seins et la fourrure abondante qui cachait son sexe, j’étais excité par la situation je frottais mon sexe et savourais avec bonheur ce moment de détente. Dans son demi ...
... sommeil, Marie avait abandonné son corps, seul ses tétons réagissaient à mes caresses.Apres trois shampoing, je réussi à démêler ses cheveux, un dernier rinçage et je transportais son corps inerte sur mon lit.Allongé à coté d’elle, je lapais une à une les goutes d’eaux qui brillaient sur ses seins et ma main cardait la toison de poils long qui couvrait son pubis duquel remontait une bande de poils jusqu’a son nombril.Marie, qui avait manifestement commencé sa nuit ne bougeait plus, je lui passais un grand t-shirt et une culotte et me ravisais me souvenant de l’état de la sienne, ne connaissant pas ses périodes, je lui mettais un tampon, un protège slip et couchais la belle au bois dormant pour de bon puis posais un baisé sur ses lèvres; il n’y eut aucune réaction n’étant pas le prince charmant.Je retournais au salon un café à la main pour établir un plan cohérent à exposer à Marie sur cette situation embarrassante.De retour de la poste et un sac à provision plein part la force des choses, Marie dormait toujours, des goutes de sueur perlaient sur son front, dans l’absolu il n’y rien d’inquiétant, sa respiration était normale, elle avait un gros coup de fatigue dù a son périple. j’appelais mon ami Antoine.« C’est Marion, tu va bien »« Oui et toi, j’arrive vers onze heures demain, c’est bon? »« Oui et il m’arrive une tuile, prend ta trousse de toubib »« Ça va pas ? »me demande t’il« Si, tout va bien c’est pas moi la tuile, oubli pas, bisous à demain »« Ok bisous »La fin de journée ...