Viking d'un soir - Histoires de Sexe

Viking d'un soir

... les provoquer de manière rapprochée. — Désolée, ça fait longtemps que je ne l’ai pas fait avec un gars.— Ah oui ?— Tu fais ça souvent ?— Ça dépend. Il avance sur le lit tandis que je m’allonge sur le dos.« Boudu qu’est-ce qu’il est beau ! » Son sexe entre en moi sans aucune difficulté. Dire que l’instant d’avant on était assis sur le canapé devant la télé… Il s’arrête un instant ; je me sens déjà envahie de plaisir alors que son pénis n’est pas encore entré complètement. Puis il se penche et me soulève les cuisses. Je veux lui montrer que je suis bien souple et pose mes jambes sur ses épaules. Je glisse mes doigts dans ses cheveux près de la racine, comme le fait ma copine quand elle amène ma tête où elle veut ; j’adore ça. J’entortille mes doigts dans ses boucles mais je n’ose pas tirer. Et s’il n’aime pas ? Et puis c’est moi qui aime être agie. Soudain, sans un mot Bap se relève ; je ne vois que sa silhouette dans l’obscurité. Ses mains poussent doucement ma taille. — Qu’est-ce que tu veux ? Pas de réponse. Je suis le mouvement de ses mains qui m’invitent à rouler sur les genoux, fesses en l’air, sa cuisse entre mes jambes. Il me pénètre cette fois-ci complètement. Je sens son sexe buter contre un point sensible de mon vagin ; impossible de réprimer ma voix. Je n’en reviens pas : cette zone hyper-érogène que mes ex ont mis tant de temps à trouver, ce gars l’a atteinte du premier coup ? Il me défonce par derrière, et j’adore ça. Il continue d’appuyer sur mon point ...

... sensible, si bien que je ne peux retenir un cri. J’attrape un oreiller par égard pour ses voisins et je lâche un « Oh, putain ! ». C’est malin, il va me trouver grossière maintenant ! Je sens mon sexe trempé, c’est l’inondation. J’ai envie de m’excuser, mais bon, ça changerait quoi ? Un doigt vient caresser mon sexe inondé puis mon anus. Je le sens s’ouvrir par à-coups de plus en plus amples, de plus en plus profonds. Et là, je pense que je ne vais pas y échapper ; mais ai-je seulement envie d’y échapper ? C’est un peu tendu. Je réclame un baiser pour m’aider à me détendre. Voilà, ça y est. Ça rentre – oh punaise ! – sans lubrifiant et sans douleur : ce gars est incroyablement doué ! J’en veux encore…« Surtout ne sors pas ! » Je jouis, et je crois que lui aussi. Il me retourne pour que je passe au-dessus. Je fais semblant de ne pas comprendre. — Tu veux quoi ? Il ne décroche pas un mot. Sa main caresse à nouveau ma tête doucement. — Tu veux ma bouche ? Décidément, je n’en tirerai rien. Je m’agenouille pour reprendre son membre. Je me concentre ; j’aimerais lui donner autant de plaisir qu’il m’en a donné. Son sexe est déjà bien redressé et tout gonflé. Je m’active pour qu’il soit au maximum de son érection, mais je me sens gauche. Puis je m’assois sur lui. Je n’ai jamais aimé être au-dessus, je le fais à la demande du garçon. Moi, j’ai beau remuer, me soulever le plus vite possible, je ne ressens pas grand-chose. Il se met à rouler du bassin, et là ça me fait de ces sensations ! ...