1. JE DÉPUCELLE LE FILS DE MA MEILLEURE AMIE. (5)


    Datte: 19/11/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... cheville coincée entre tes fesses ! Je l’ai mise en levrette et commence à préparer ma fille en lui léchant le petit trou puis en y enfonçant un doigt. Je me tourne vers Claude et approche ma bouche du sexe mou toujours imposant qui repose sur les bourses gonflées, je saisis le gland du bout de mes lèvres que je resserre ensuite une fois en bouche. Ma langue parcourt la peau fine, délicate, encore souple et je titille le méat. Je m’applique et le sens qui grossit enfin sous les caresses de ma langue et de mes lèvres. Il recommence à bander et retrouve bien vite sa taille habituelle. C’est vrai qu’il a une queue épaisse que j’aime tant. Son gland prisonnier déforme ma joue, ne pouvant faire entrer plus loin son gros et long épi, je place une main en conque sous ses bourses à la peau à la fois ridée et souple et l’autre sur la hampe. Une fois que je la trouve rigide à souhait, je la présente vers la raie des fesses de ma fille, et la guide à l’entrée ou j’ai appliqué du gel. La bite pleine de salive entre en contact avec l’anneau serré. Je sermonne Claude : -Vas-y doucement, c’est sa première fois. Je tire le prépuce vers l’arrière pour le mettre juste contre l’anus. Il pousse lentement en commentant : — Tu es drôlement serré, excuse-moi Emilie, je vais te faire souffrir. Tendrement, il l’embrasse dans le cou, sur la nuque et il entre doucement dans son derrière mais se retire aussitôt car sa rondelle paraît très serrée. Il laisse tomber de la salive sur sa raie et masse d’un ...
    ... doigt le petit trou avant de l’introduire. Il recommence avec deux doigts quelques va-et-vient avant de représenter sa queue. Je suis aux premières loges pour voir la dilatation du sphincter sous la poussée du gland énorme qui dès qu’il est entré l’étrangle maintenant à sa base. Claude continue la lente progression qui écarte de plus en plus les chairs intimes de ma fille. J’ai l’impression que cette colonne est sans fin quand enfin les bourses viennent heurter la chatte signifiant que le monstre tout entier est dans la place. Emilie ne peut échapper à Claude qui la tient fermement par les hanches, elle a la tête entre ses bras, un rictus de douleur marque son visage. Elle supplie : -C’est horrible, il me déchire, tu ne peux pas le laisser faire, maman, dis-lui d’arrêter, je t’en supplie ! Claude se retire et change de trou, lubrifiant sa pine au jus du vagin trempé puis la sodomise à nouveau. EMILIE. Je souffre de ce sexe énorme, gros, long, qui me fouille, de ce pieu fait de chair qui palpite en moi. Une douleur fulgurante me saisit au bas-ventre quand il rentre à nouveau avant de revenir à ma chatte. Je suis trop étroite, comment ma mère éprouve du plaisir par là ? Aucune femme ne peut accepter une queue pareille ! Je ne sens plus rien. Il a dû enfin renoncer. Quand soudain je sens ses poils pubiens frotter sur mes fesses. Je tourne la tête et le vois dans le miroir de l’armoire. Il est plaqué contre moi. Mais alors son… ? Il m’a tout mis ? C’est pas possible ! Mais quand ...
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