1. Passer du fantasme à la réalité ? Oui, mais après...


    Datte: 19/11/2017, Catégories: couple, couplus, extracon, anniversai, jalousie, noculotte, Oral

    ... ne sait ni ne saura rien de cette histoire de cul. Je fus bien tenté de rapporter à sa compagne notre infortune mutuelle et de la persuader d’appliquer la loi du Talion – je n’aurais pas dédaigné ses appâts, et la vengeance aurait été bien douce – mais le syndrome de l’arroseur arrosé me fit renoncer, avec la certitude que Maya ne manquerait pas l’occasion de se faire sauter par Patrick et sans doute d’autres queutards. Comme avant, nous sortons tous des quatre en couple. Aucun sous-entendu, aucune attitude déplacée n’est jamais venue troubler notre relation d’amitié. La seule différence avec avant, c’est que Patrick a baisé ma femme ; peut-être la baise t-il encore. Il connaît l’intensité de ses orgasmes, il a vu la folie de son plaisir dans ses yeux et sur son visage. Pouvait-il renoncer à la huitième merveille du monde ? Pouvait-il vraiment se priver de posséder une femme chaude comme la braise à laquelle il était si facile de donner d’énormes orgasmes ? Comment renoncer, quand cette femme a crié de plaisir, vous a supplié de la baiser avec toute la passion et la furie dont elle fait preuve ? Et ma femme, un des meilleurs coups de la ville selon la rumeur, avait-elle à cœur de ne pas me tromper ? Se fait-elle sauter par Patrick ? Crie-elle son désir et sa jouissance sous le joug d’une bête de sexe ? Dès que je vois Patrick, ces pensées et ces doutes me rendent fou de désir et de jalousie. C’était comme si l’orgasme adultère avait engendré une assurance de séductrice, ...
    ... le triomphe du sexe faible. Jonglant avec mes contradictions, ce Machiavel en minijupe s’ingénie à entretenir ma suspicion et ma jalousie, comme en aguichant d’autres hommes qui finissent par la draguer en ma présence. Ou encore, elle sort dans des tenues limites et sans culotte la plupart du temps ; elle se laisse discrètement mater et me confesse son émoi et ses tentations quand elle chauffe à blanc un voyeur à son goût. Pour se faire pardonner, elle se jette sur moi en arrivant à la maison, m’exhorte à profiter de son état, et je me soulage en rudoyant son con volcanique, pour son plus grand plaisir et pour le mien. Autre torture : elle s’épile le minou et m’explique avec la plus insupportable expression d’innocence que les mecs qu’elle connaît préfèrent les abricots tout lisses ; ce serait plus plaisant à voir et à consommer. Malgré mes soupçons, je n’ai jamais réussi à confondre l’épouse adultère, mais je ne me départis pas de la lancinante impression de passer juste après un autre, et ça me fait bander comme à mes vingt ans. Bizarrement, je suis bien plus jaloux des baisers que Maya a donnés à notre ami que du sperme qu’il a déversé en elle ; ce n’est pas l’acte adultère qui me mine, mais toute la passion qu’elle y a mis, les mots tendres qu’on s’échange quand on a tout donné. J’ai la hantise que mon aimée ne deviennent la proie consentante de baiseurs sans scrupules, d’étalons qui vont la pervertir par des orgasmes tels que nos ébats conjugaux ne paraîtront plus que ...