1. Passer du fantasme à la réalité ? Oui, mais après...


    Datte: 19/11/2017, Catégories: couple, couplus, extracon, anniversai, jalousie, noculotte, Oral

    ... blanc fut débouché, goûté, dégusté avec quelques savoureux amuse-bouche maison pour l’apéritif. Nous étions bien ; les verres se vidaient et se remplissaient, si bien que la première bouteille avait trépassé avant l’apparition du premier plat. Mon épouse avait le feu aux joues, et le grand cru suivant n’allait rien arranger ; elle aimait le vin, ma chérie – tout comme nous d’ailleurs – mais tenait moins bien l’alcool. Pour tout dire, elle commençait à être un peu pompette. Heureusement, il n’y avait pas que du liquide ; les plats aussi se succédaient, servis par un personnel professionnel, aux petits soins et souriant. Après le dessert, la petite liqueur du patron et l’addition, notre ami proposa de finir la soirée chez lui pour faire honneur à son cadeau. Nos pas nous conduisirent jusqu’à son appartement. Maya avait trouvé soutien et assurance en prenant nos bras ; elle marchait entre nous et riait tous les trois pas. Oui, elle était gentiment pompette, la bourgeoise ; pas saoule, mais bien émoustillée. C’est avec le soulagement d’être enfin arrivée à bon port qu’elle se laissa tomber dans un fauteuil. Dans le mouvement, la jolie robe d’été remonta jusqu’au nombril, Maya trouva la situation tellement cocasse qu’elle éclata de rire en couvrant ses trésors. Pompette, délicieusement coquine et d’humeur badine ! Sa bonne humeur avait fini par nous gagner, et nous rîmes de bon cœur à sa facétie. Patrick sortit trois coupes à cognac, ouvrit la bouteille en me remerciant encore ...
    ... et versa le précieux breuvage. À mon grand étonnement, ma chère épouse, qui ne buvait habituellement que du vin, du champagne et des douceurs peu alcoolisées comme leLimoncello, ne protesta nullement et s’empara de la coupe. C’était vraiment une grande fine, aux effluves à la fois subtils et puissants, à la rondeur incomparable. Patrick était amateur et connaisseur ; j’avais plaisir à partager cet alcool avec lui. Nous en étions à chauffer nos coupes dans nos mains que Maya avait bues cul-sec. Je voulus la prévenir : — Attention, ce n’est pas du pipi de chat.— Je sais, c’est fort, mais c’est bon.— Tu ne devrais plus rien boire, ce soir.— Pourquoi ? Je ne dois pas conduire.— Non, mais tu n’arrives plus à te tenir.— Ah oui ? Et à quoi tu vois ça ?— Ah-ah-ah ! Facile : on voit ta culotte à tout bout de champ.— Ah oui ? Et c’est grave ?— Non, bien sûr, mais ça nous donne chaud.— Et comme ça, vous voyez mieux ? Et Maya écarta les cuisses. Patrick, aussi surpris que moi, lança : — Si tu tiens à nous exciter, tu devrais l’enlever.— Tu veux que j’enlève ma culotte ?— Je n’ai pas dit ça ; je dis juste que ça serait bien plus excitant si tu n’en avais pas.— Tu veux voir ma chatte ?— Si tu la montres, je ne vais pas détourner les yeux.— Vous êtes des petits cochons. Tous les deux ! Maya, si prude et réservée, passa ses mains sous sa robe avec une lenteur calculée, décolla les fesses du fauteuil et fit gracieusement glisser sa petite culotte pour la jeter derrière elle. Avec la même ...
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