1. Passer du fantasme à la réalité ? Oui, mais après...


    Datte: 19/11/2017, Catégories: couple, couplus, extracon, anniversai, jalousie, noculotte, Oral

    ... lenteur, elle ouvrit en grand le compas de ses jambes et offrit à nos yeux concupiscents sa jolie minette dans toute sa splendeur. La toison brune soigneusement entretenue ne cachait rien ; les lèvres entrouvertes laissaient voir son puits de plaisir luisant du miel du paradis céleste. Si luisant qu’aucun doute n’était permis : la friponne mouillait d’abondance ! Mon regard passait de cette dernière à notre hôte. L’un avait l’expression d’un personnage de bande dessinée, la bouche ouverte, les yeux hors des orbites ; l’autre arborait un sourire satisfait, observait avec ironie mon air médusé et l’effet produit sur notre ami. Elle fut la première à parler : — On dirait que vous avez vu la Vierge.— Jamais je n’aurais cru que tu serais capable de faire un truc pareil.— Moi non plus.— Et alors, ça vous plaît ?— Plus que ça !— À ce point ? Ça vous fait tant d’effet ?— À moi, oui.— Toi, Patrick, je comprends : c’est la première fois que tu la vois ; mais toi, Bernard, ma chatte n’a plus de secret pour toi. Je ne comprends pas.— C’est parce que tu la montres à Patrick.— D’accord : tu bandes parce que ton copain mate ma chatte ? Petit pervers !— Je n’y peux rien, ça me fait bander.— Et si j’offrais à Patrick son deuxième cadeau ?— C’est quoi cette histoire de deuxième cadeau ? Vous m’avez déjà gâté avec ce fabuleux cognac ; je ne veux pas d’autre cadeau.— Ne parle pas sans savoir. Il ne s’agit pas d’un cadeau conventionnel : je me proposais de te gâter avec quelque chose de très ...
    ... personnel. Tu ne veux pas savoir de quoi il s’agit ?— Si tu insistes, dis toujours, juste par curiosité.— Qu’est-ce que je fais, Bernard, je lui dis ?— C’est toi qui décides.— Et tu n’y verrais pas d’objection ?— Comme on dit si bien, l’homme propose, la femme dispose. Moi j’accepte ton choix, quel qu’il soit. L’apprentie coquine, plus impudique qu’indécise, nous laissa nous régaler de sa féminité tout en s’accordant quelques instants de réflexion. C’était plus fort que lui ; Patrick matait sans vergogne le trésor intime qui lui était dévoilé, sondant les moindres détails que le buisson brun soigneusement entretenu ne pouvait soustraire à son regard inquisiteur. Le spectacle offert par la femme et ses propos énigmatiques échangés avec le mari le plongeaient dans la plus grande circonspection. Nul doute qu’il n’y avait rien de prémédité ; chacun était surpris de cette situation inédite, et surtout celle qui en était l’instigatrice, elle qui venait de braver les interdits, la morale et l’éducation et de dépasser une barrière d’ordinaire infranchissable en exhibant sa minette. Désinhibée par l’alcool, Maya craignait cependant d’atteindre le point de non-retour mais en crevait d’envie. À en juger par l’état de sa jolie fente toute trempée, ses premiers pas dans l’exhibitionnisme et l’effet produit dans nos pantalons l’avaient bougrement excitée ; le bon vieux coup de l’arroseuse arrosée. Hors des sentiers battus de nos us et coutumes conjugaux, elle cherchait désespérément à ...
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