Passer du fantasme à la réalité ? Oui, mais après...
Datte: 19/11/2017,
Catégories:
couple,
couplus,
extracon,
anniversai,
jalousie,
noculotte,
Oral
... pour un nouveau câlin. Nous fîmes l’amour plus posément que la veille. L’image de Maya qui suçait en gorge profonde décupla mon envie de la posséder. Apaisés, nous avons essayé d’analyser ce qui nous était arrivé, un débriefing sur l’oreiller en quelque sorte. Maya s’inquiéta : — Tu ne m’en veux pas trop de ce que j’ai fait hier ?— Pas du tout ; ce fantasme était d’abord le mien. J’aurais pu dire « stop » avant que tu n’ailles plus loin, mais je ne l’ai pas fait.— Oui, mais j’ai enlevé ma culotte sans demander la permission.— Là, j’ai vraiment été surpris ; mais jusque-là, tu n’avais rien fait de plus que de jouer les vilaines filles un tantinet exhibitionnistes.— Je n’ai pas compris ce qui m’a poussée à le faire ; je n’étais pas saoule.— J’ai cru que Patrick allait faire une attaque !— Une attaque, non, mais j’ai bien vu la bosse de son pantalon.— Il bandait comme un âne.— Je n’arrivais pas à détacher les yeux de sa braguette ; j’avais envie de voir sa queue. Tu n’as pas idée à quel point j’étais excitée à l’idée de la sucer !— Et tu l’as fait.— Oui. Je m’étonne encore de l’avoir fait. Qui plus est, sous tes yeux !— C’était dingue ; ça m’a rendu fou.— J’espère que tu as ressenti de la jalousie…— Bien sûr. Je suis passé par des accès de jalousie, mais sans cesser de bander à me faire mal.— Je suis contente que tu sois jaloux, et aussi que tu bandes pour moi.— Ce que je n’ai toujours pas compris, c’est pourquoi nous sommes partis comme des voleurs.— J’avais une très bonne ...
... raison ; tu as vu dans quel état j’étais en arrivant à la maison ?— Tu veux dire super excitée ?— C’est rien de le dire… Quand j’ai fini ma pipe, j’avais tellement envie de me faire baiser que si je n’étais pas partie sur le champ, j’aurais demandé à Patrick de me prendre devant toi.— Tu en avais envie ?— J’en mourais d’envie !— Et pourquoi tu ne l’as pas fait ?— Tout simplement parce qu’on n’en avait pas parlé. Je me suis permis de réaliser notre fantasme ; c’était seulement de faire cette pipe, et comme on dit si bien, sucer n’est pas tromper : je pense que je n’ai rien fait de très grave. Je ne voulais ni te blesser ni t’humilier, je m’en serais voulu.— Je te remercie de penser à moi ; ça me rassure, et je sais que tu m’aimes. Tu l’as sucé comme dans un rêve coquin mais, en vérité, j’avais plus ou moins conscience que ça pouvait aller beaucoup plus loin.— Et si c’était arrivé ?— J’aurais attendu mon tour. Nous aurions fait notre premier trio.— Donc, tu consens à ce que je fasse l’amour avec un autre homme ?— Dans les circonstances d’hier soir, oui.— Et aujourd’hui ?— Tu en as encore envie ?— Si je te dis que oui, ça te paraîtrait mal ?— Alors, c’est oui ?— Oui, j’avoue. Je ne pensais pas ressentir du désir pour Patrick ; tu ne peux pas savoir à quel point j’ai adoré le sucer. J’ai adoré sa queue, j’ai adoré le goût de son sperme.— Ce que j’ai vu, c’est que ta fente coulait comme une fontaine.— Tu crois que lui aussi l’a remarqué ?— De la façon dont il te reluquait la minette, ...