1. Passer du fantasme à la réalité ? Oui, mais après...


    Datte: 19/11/2017, Catégories: couple, couplus, extracon, anniversai, jalousie, noculotte, Oral

    ... dans mes comptes anatomiques que Maria l’avait promptement englouti. Elle entama alors une fellation magistrale, le suçant du gland jusqu’aux couilles. Elle n’avait jamais voulu me faire une gorge profonde, protestant qu’elle n’était pas une avaleuse de sabre, et là, sous mes yeux, elle ne se faisait pas prier. J’avais beau me dire que la verge de Patrick avait la taille adéquate, j’étais jaloux de la prouesse de ma chérie. Difficile de dire combien de temps dura ce traitement de rêve ; cette dernière pompait avec envie tout en massant les bourses. Maya suçait et plantait ses yeux dans ceux de Patrick, puis dans les miens, se concentrait à nouveau sur sa tâche, puis rejouait du regard. Qui aurait pu résister plus de quelques minutes ? Sûrement pas moi ! J’étais tellement excité que j’étais sur le point d’exploser dans mon caleçon sans avoir à me toucher. Patrick voulut prévenir l’officiante de l’imminence de sa délivrance ; il ouvrit la bouche, mais aucun son n’en sortit à temps. Maya ne s’arrêta pas pour autant ; elle ralentit simplement la cadence de son travail de sape. Tandis que son partenaire éjaculait dans sa gorge, elle avalait le sperme en déglutissant au fur et à mesure des giclées, jusqu’à la dernière goutte. Quand elle estima que Patrick avait vidé ses bourses, la butineuse ressortit le membre encore raide de sa bouche, le lécha sur sa longueur, en nettoya le gland à petits coups de langue en louchant vers moi avec une indicible expression de satisfaction. Un ...
    ... film muet, incroyable ! Je venais d’assisterin vivo à l’improbable scène pornographique dont j’avais écrit le scénario. Je ne m’en étais pas encore remis qu’elle se levait du fauteuil, rajustait sa robe et saisissait son sac à main pour partir ; je la suivis. Patrick remonta son pantalon avec hâte pour nous raccompagner sur le palier. Quatre bises, pas d’autres paroles qu’un simple « au-revoir » et nous étions dehors. Sans que je sache pourquoi, nous sommes arrivés à la maison au pas de course. La porte à peine refermée, nous nous sommes jetés l’un sur l’autre. Maya était plus chaude que jamais, moi je n’avais pas débandé depuis qu’elle n’avait plus sa culotte : rien ni personne ne pouvait m’empêcher de baiser cette coquine que je ne connaissais pas sous ce jour. Ses lèvres, sa bouche avaient le goût du sexe et du sperme d’un autre, et cela me mettait encore plus en rut. Maya se laissa tomber sur le lit ; elle était en feu. Je plongeai avec délice dans son con liquéfié et chaud comme de la lave en fusion. La furie réclamait une queue ; la mienne était raide comme la Justice. Je la pris à la hussarde, avec sauvagerie, et nous eûmes en quelques minutes un orgasme d’une intensité rare avant de sombrer tels quels dans un sommeil profond. Nous n’avons émergé que le lendemain. Maya était toute joyeuse ; ni elle ni moi n’avions de remords : elle avait osé, j’avais permis, nous venions d’assouvir un fantasme, et cela nous convenait. Le petit déjeuner, une douche, et hop, retour au lit ...
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