1. Plaisirs de l'aube


    Datte: 19/11/2017, Catégories: fh, hagé, fagée, extracon, extraoffre, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, Masturbation Oral pénétratio, jeu, ecriv_t,

    Formant un couple assez ordinaire, Sido et son mari Rupert ont été conviés à une soirée dans un club échangiste. C’est une première et ils invitent au préalable leur ami Xavier pour s’informer de ce qui les attend. Plaisirs de l’aube Une collation était disposée sur la table, et, prenant l’apéritif, nous attendîmes que Sido redescendît. Elle revint bientôt, et, si elle n’avait pas suivi mon conseil pour le haut, elle avait en revanche passé une jupe assez serrée. Le repas fut joyeux et arrosé. Mes amis, d’un abord réservé vis-à-vis des tiers, voire d’une attitude assez spartiate, dissimulaient en réalité un appétit certain pour les gourmandises de la vie, et que c’est cet aspect qui les intéressait dans l’expérience échangiste qu’on leur proposait. Ils comptaient apparemment y trouver un dérivatif à l’ordinaire de leur existence, et un moyen de connaître d’autres saveurs sans avoir l’impression de tromper leur conjoint, ce qui, visiblement, les aurait fort contrariés. Quel désir les poussait donc ? J’étais d’autant plus étonné que je savais qu’ils s’entendaient tous le deux à merveille ! Et singulièrement sur le plan physique ! Je m’en étais fortuitement rendu compte un jour que je passai la nuit dans leur maison de Royan. Nous nous étions ce jour-là tous couchés fort tard, et j’avais dormi comme une masse, jusqu’à ce que la douleur de mon ventre, gonflé par les libations de la veille au soir, me réveille. Très doucement, pour ne déranger personne, je me levai. Marche après ...
    ... marche, évitant de les faire grincer, je descendais l’escalier dans la pénombre incertaine de l’aube commençante, lorsqu’au détour, je surpris Sido qui sortait complètement nue des toilettes. Elle marqua un bref arrêt, à demi tournée dans ma direction. Mais elle ne m’avait pas vu. Bruit de chasse qui couvrit les craquements des marches de bois ! Et quelle splendeur ! Sido, c’était comme le modèle d’une statuaire grecque ! Des hanches en amphore, une poitrine ronde, lourde, ample, et surtout, dans la lumière pâle de l’aube, une touffe ! Ce que je n’avais pas réellement réussi à percer, sur cette photo indiscrète prise à la plage, c’était sa luxuriance ! La toison, dans la pénombre, était comme une grosse boule de vison soyeux, envahissant tout le bas du ventre, et dont l’épaisseur était telle que, n’étant plus contenue par une culotte ou un maillot, elle envahissait les aines de chaque côté du pubis, empiétant de son ombre sur la chair blanche des cuisses, foisonnante fleur sombre qui s’épanouissait largement sous le mont de Vénus, en occultant de son épais drapé les rivages de miel de son sexe, noire orchidée prête à exhaler les parfums enivrants de la luxure ! Trop bref émerveillement ! Sido revenait dans sa chambre, mais ne prit toutefois pas la peine de fermer la porte. Un miroir en pied renvoyait l’image du lit conjugal vers le réduit où je me tenais dissimulé. Sido, dans sa nudité altière, revenait vers le lit. Elle eut comme un instant d’hésitation, un genou en appui sur ...
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