Plaisirs de l'aube - Histoires de Sexe

Plaisirs de l'aube

... de ce dernier. Ma bite avait craché son foutre en même temps. Le calme revenait, et alors je constatai la débandade qui s’accompagnait de longues traînées blanches de foutre gouttant en filaments baveux sur les cuisses jusqu’au drap souillé. Ma main était également poisseuse et j’avais les jambes flageolantes. Tel était le spectacle que Sido m’avait inconsciemment offert de son tempérament, et dont elle voulait, aujourd’hui délibérément, nous donner un nouvel échantillon. Travaux pratiques Sido nous servit abondamment, nous entretint de ses fantasmes et de ses envies. Elle avait adopté soudainement un tour déluré, et si, au lieu de mes conseils, elle avait revêtu un strict chemisier, elle me démontra qu’elle pouvait en user de façon bien coquine ! Le repas avançant, elle revint sur mes conseils. — Xavier, j’ai essayé de me conformer à vos prescriptions !— Prescriptions, prescriptions ! Comme vous y allez !— Eh oui ! Pour la jupe… (elle se leva de table, et tourna sur elle-même devant nous) constatez qu’elle est serrée à souhait !— Merveilleux ! lui dis-je, effectivement, nous n’ignorons rien du détail de votre culotte et de vos fesses, chère Sido !— Malpoli ! Avouez que personne ne peut me mettre la main aux fesses sans que j’en sois immédiatement avertie !— Mais une femme avertie en vaut deux !— C’est ce que je me disais ! Mais pour la suite, le chemisier m’a paru préférable.— Il nuit aux regards !— Mais non Xavier, regardez comment je vais vous traiter, et vous verrez ! ...

... Elle s’approcha de moi, et entoura mes épaules de son bras. De ma chaise, je fis de même avec ses hanches. Nous étions serrés l’un contre l’autre, sous le regard très amusé de Rupert. Je sentais la chaleur de son corps au travers du fin tissu. Se penchant vers mon visage, elle déposa un gros baiser bien sonore sur ma joue. — Vous voyez, Xavier ! Pour l’instant, je reste pudique ! Et bien que je sente que vous en avez envie, je ne vous ai rien montré ! Mais nous allons changer cela ! Elle défit deux boutons, et écarta le col du chemisier sur ses épaules, puis se remit dans la même position. Je n’aurais, de mon côté, abandonné ses hanches à aucun prix ! Elle continua : — Voyez, maintenant, je vous embrasse sur l’autre joue, en me penchant bien au-dessus de vous ! Elle fit ce qu’elle annonçait. Se penchant, son corsage s’ouvrit plus largement et j’aperçus son soutien-gorge à balconnets tenant haut sa jolie poitrine. — Alors, Xavier, vous les avez vus, maintenant ?— Mais vu quoi, Sido ?— Hypocrite ! Mes trucs, hein ! Mes seins, bien sûr !— Pour l’instant, vous m’avez donné à admirer votre soutien-gorge !— Ah ! Je vois qu’il faut de l’audace, encore plus d’audace ! (Elle défit tous les boutons de son chemisier jusqu’à la ceinture). – Xavier ! Ne ratez rien ! Je vous embrasse à nouveau ! Se tournant vers moi de façon plus délibérée, elle ouvrit largement son corsage, et sortit chacun de ses seins de façon à ce qu’ils ne soient plus que soutenus, mais l’aréole dehors ! Elle se pencha, ...