1. Une expérience douloureuse physiquement mais sublime


    Datte: 19/11/2017, Catégories: fh, couple, forêt, parking, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, piquepince, init, prudes, fsoumisah,

    ... sentiment de petite fille mijotant dans ses tourments dans l’attente de la fessée annoncée par son père me faisait revenir des années en arrière et surtout me faisait me souvenir que j’avais très mal aux fesses après mais que je me disais que mon père me corrigeait parce qu’il m’aimait et voulait mon bien. Je n’ai pas demandé d’explications. J’avais peur, mais j’étais hypnotisée cérébralement. Paul, mon Père, tout se mêlait dans ma tête. Et je me sentais bien et confiante. Paul n’a pas non plus dit un seul mot jusqu’à notre villa. Au lieu de rentrer la voiture dans le garage, il l’a garée devant le perron et lorsque nous en sommes descendus, il m’a prise dans ses bras pour me demander : — On arrête ? Et en l’embrassant comme je ne l’avais pas fait depuis des années, je lui ai dit : — Non, surtout pas. Assis dans le salon, Paul et moi n’avons pas échangé un mot jusqu’au moment où la sonnette du portail s’est fait entendre. — Maintenant il faut que tu ailles accueillir Maître Pierre. En gage d’obéissance à lui et à moi, tu devras lui dire "Maître je suis à votre service et vous pourrez exiger ce que vous voulez de moi, comme Paul mon mari le veut." Paul a déclenché l’ouverture du portail et après avoir ôté ma veste et déboutonné trois boutons supplémentaires de mon chemisier m’a dit : — Va ! J’arrivais à peine sur le perron que la voiture de l’invité de Paul se garait à côté de celle de Pierre. J’attendais qu’il descende de la voiture, mais rien ne se passait. Je suis donc ...
    ... allée jusqu’à la voiture près de la portière du conducteur et c’est alors que je vis qu’il n’était pas seul. Une femme au type assez vulgaire était à ses côtés. La vitre côté conducteur s’est abaissée et un regard, je devrais dire deux regards, m’ont détaillée des pieds à la tête. J’en suis devenue rouge de confusion, d’autant que la femme a ajouté : — Pas mal la gazelle, mais elle a trop de fringues pour juger vraiment. Demande-lui de montrer la marchandise.— Tu as entendu, ma copine veut voir la marchandise.— C’est-à-dire ?— T’es bornée ou quoi ? Montre ton cul et tes nibards.— Ici ?— Bien sûr, sinon on se casse. T’as compris ?— Il fait froid et si j’ai bien compris vous serez satisfaits à l’intérieur, puisque je dois vous obéir.— Paul ne nous avait pas habitués à des emmerdeuses, mais puisqu’il semble que tu sois sa femme, ne nous agace pas et déshabille-toi. On veut juste voir la marchandise. Et quand on sera satisfait tu remettras tes fringues de manière à ce que tu sois présentable. Le nombre de secondes que tu mettras à te foutre à poil sera le chiffre fétiche de la soirée. J’étais prête à beaucoup de choses pour Paul, mais là, j’avais le sentiment que la situation m’échappait. J’avais une furieuse envie de les envoyer se faire voir et, dans le même temps, je craignais les réactions de Paul. C’est moi qui avais ouvert les vannes. Je devais assumer, en attendant de pouvoir maîtriser. Mais voulais-je vraiment maîtriser ? J’ai quand même dit non et je suis rentrée à ...
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