Une expérience douloureuse physiquement mais sublime - Histoires de Sexe

Une expérience douloureuse physiquement mais sublime

... l’intérieur, tout en laissant la porte ouverte ostensiblement. Paul était déjà au téléphone et je compris que "Maître Pierre" était en ligne. — Tout à fait d’accord Maître Pierre, c’est inacceptable et comme je vous l’ai assuré, vous avez "carte blanche". Je ne savais pas que votre assistante serait également là. Pour une première fois, je préfèrerais qu’elle ne participe pas, mais c’est vous qui êtes juge. Il s’agit de ma femme.— …— D’accord.— …— D’accord. C’est lestée d’un grand sac de sport que l’assistante de Maître Pierre, suivie du Maître firent leur entrée. — Paul, mon ami, je souhaite m’entretenir seul avec votre femme. Me le permettez-vous, sachant que l’entretien risque de ne pas être que verbal ?— Vous avez ma confiance et "Carte Blanche".— Alors, allez faire une ballade en voiture avec mon assistante et revenez dans un quart d’heure. C’est avec une angoisse non dissimulée que je vis partir Paul et la dite assistante. A peine furent-nous seuls que Pierre (Il m’a dispensée du " Maître" pour le moment) me demanda si j’étais pleinement d’accord pour cette expérience. J’ai longuement hésité avant de répondre que j’aimais Paul et que j’étais prête à satisfaire ses désirs sexuels quels qu’ils soient. Il semble que ses désirs soient hors des sentiers battus mais que depuis le début de la soirée… je mouillais ma culotte bien que je n’en aie plus depuis que Paul m’ait demandé de l’enlever. — Dans ce cas, pour satisfaire votre mari, êtes-vous prête à devenir sur le plan ...

... sexuel ce dont il a envie ? Je ne vous cache pas que votre parcours sera difficile tant physiquement que moralement, mais connaissant un peu Paul, ce sera un immense cadeau pour lui.— Je ne suis pas sûre d’être prête, mais je suis absolument sûre de le vouloir.— Mettez-vous nue et allez attendre le retour de votre mari, à genoux sur le perron. Il fait froid, je le sais, mais c’est la preuve de votre engagement que je veux. Le temps est passé très vite et Paul, seul, est descendu de la voiture de Pierre et, sans même me regarder, a fait son entrée dans le salon. Une fois m’avoir dépassée, il m’a dit de rentrer. Maître Pierre a demandé à Paul de s’asseoir dans l’un des fauteuils et lui a dit que dès qu’il dirait deux fois de suite "stop", tout s’arrêterait, mais qu’autrement il devait se taire et ne pas intervenir sans qu’il soit sollicité. — Nathalie, c’est votre prénom ?— Oui.— Nathalie as-tu conscience de ne pas avoir satisfait Pierre sur le parking ?— Oui.— Il ne faut jamais refuser quelque chose à son mari. Es-tu d’accord ?— Oui, mais …— Mais quoi ?— Rien.— Alors nous allons satisfaire ton mari, tout de suite.— Comment ?— Dans le sac qui est là, tu trouveras quatre vêtements que tu vas mettre : un string ficelle qui ne couvre presque rien, une nuisette transparente qui ne couvre même pas le haut du string, des escarpins dont les talons font douze centimètres avec lesquels on ne peut pas marcher facilement mais qui font une croupe délicieusement cambrée, un collier de cuir avec ...