Le bonheur d'attendre
Datte: 01/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
couple,
caférestau,
amour,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fgode,
préservati,
pénétratio,
Non mais, qu’est-ce qu’il croit ? Qu’il peut m’avoir comme ça, aussi facilement ? Il sait que j’ai envie de lui, mais ce n’est pas une raison pour que je lui tombe dans les bras dès qu’il va les ouvrir. C’est sûr que je suis officiellement avec lui, en couple quoi. Mais qui a dit que je devais être disponible comme, je ne sais pas moi, une poubelle dans une cuisine, par exemple ? Parce que c’en est rendu à ce point, il me pénètre, il fait quelques va-et-vient, puis il s’en va, en ne pensant qu’à lui, évidemment. Et moi dans tout ça ? Je suppose que dans sa tête je suis supposée jouir entre le troisième et le quatrième coup de butoir - qui ne va pas si profondément que ça, soit dit en passant. Alors je reste frustrée, frustrée, encore frustrée et toujours frustrée. Et lui a même eu le culot de me dire que je n’avais qu’à me masturber ! Parce que je lui ai parlé du problème, évidemment, je ne suis pas du genre à souffrir seule dans mon coin. Si je vais mal, au moins il doit le savoir. Et tout ça parce que je l’aime. Sinon, je l’aurais quitté depuis longtemps, vous l’imaginez bien ! Tout a commencé un soir de mai, alors que je me rendais à notre premier rendez-vous. Fille moderne, je lui avais d’abord parlé sur Internet et nos intérêts concordaient. J’avais donc accepté un café sur une terrasse tranquille du centre-ville. Il faisait beau ce soir-là, pas encore trop chaud, mais quand même assez pour que je sorte de ma garde-robe une jupe presque sage qu’un coup de vent aurait ...
... soulevée pour révéler une culotte en dentelle bleue un peu moins sage. J’étais prête à tout, j’avais même agencé avec un soutien-gorge assorti qui met avantageusement ma poitrine en valeur sous un top à peine transparent. Je ne cherchais pas une baise d’un soir, mais je ne refuse jamais un plaisir dont j’ai envie. Enfin, je ne refusais pas à cette époque-là… Il est arrivé à l’heure, un bon point pour lui. Un pantalon à mi-chemin entre jeans et corduroi, une chemise qui s’ouvrait sur un tee-shirt ajusté et, le plus important, des bas et des souliers noirs. Allez savoir pourquoi, mais des grosses chaussettes blanches, c’est un réel coupe-l’envie pour moi. Et il est arrivé avec un sourire franc, pas un sourire emprunté qui se demanderait sur quelle demeurée il allait tomber. Non, il avait l’air confiant et heureux d’être là. S’il m’a jaugée, je ne l’ai pas remarqué. C’est rare de nos jours un homme qui sait regarder une femme aux bons endroits sans qu’elle s’en rende compte ! La discussion s’est promenée sur nos divers points communs, puis sur la vie en général, une discussion assez fluide qui ne semblait pas trouver de fin. Puis, sans que je m’en rende compte, il a orienté la conversation vers le sexe. Pas le sexe brut, mais plutôt le plaisir, le désir, les habitudes des uns, des unes et des autres, principalement nos ex. Pourquoi pas ? J’avais connu pas mal de plaisirs dans ma vie encore assez courte et je n’avais pas honte de le dire. De son côté, sa trentaine l’avait conduit à ...