retour de vacances - Histoires de Sexe

retour de vacances

En quelques années, avec la complicité de mon mari que j’aime par-dessus tout, je suis passé de femme « bien sous tous rapports », qui était portée aux Dieux par tous, à une épouse des plus sulfureuses…, dévergondées, et même dépravées !!! Toujours loin de notre entourage, pour ou avec mon époux, je deviens une véritable « putain » et suis aux anges…, et une fois revenus dans le monde, dans notre entourage, dans notre travail personne ne sait ou peu deviner mes extravagances : tel un caméléon, je sais me transformer, me transcender, et outrepasse tous les codes de « bonne conduite » d’une maman de 40 ans ! On peu tout nous reprocher, mais après vingt ans de mariage, nous avons construit nos vies ainsi, et sommes très heureux, et rien ni personne ne pourra nous faire changer. 
Au retour de nos dernières vacances, des plus chaudes et coquines, encore sous l’effet de nos extravagances, que je vous conterais plus tard…, peut-être, on découvrait une publicité pour un nouveau concept d’une salle de danses, que j’affectionne tout particulièrement et pour la première, une présentation un peu différente des autres salles allait être organisée : toute personne qui se présenterait devait apporter un petit quelque chose à grignoter ou à boire pour faire tous plus ample connaissance et découvrir toutes les facettes des futurs soirées dansantes, et cours qu’ils allaient organiser.
Très simplement tout en y discutant, mon mari m’encourageait à m’y rendre seule, car lui n’aime pas la ...

... danse. Surprise d’abord je refusais et au fil de la discussion, il réussissait à me décider, et le vendredi suivant vers les 19h telle une jeune fille pour son premier bal, je m’apprêtais et me présentant dans le salon devant mon chéri, il était enchanté de me voir porter la dernière petite robe d’été qu’on avait achetée ensemble. Près du corps elle était épousant mes formes, et quelque peu échancrée devant  et décolletée dans le dos, elle était.  Sans faire vulgaire, je pouvais aisément la porter sans soutien gorge car mon 85C s’y prête aisément. Après quelques petits câlins à mon grand étonnement, il désirait savoir ce que je portais dessous et sans frémir, lui consentais que je portais juste un string, qu’il prit vite plaisir à m’ôter malgré mon désaveux…
Quelques minutes plus tard, amadouée et louangée, seule, je me rendais à une bonne trentaine de km de la maison dans cette nouvelle salle de danses, où sur place, à mon arrivée il y avait déjà beaucoup de monde. Comme à l’accoutumée très vite j’oubliais ma tenue et avec mon invitation découpée sur un journal, je  me présentais à l’entrée et très vite sous des musiques Sud-Américaines, tous dansions, et même étions conseillés sur les pas de danse par trois profs des plus dévoués. Petit à petit je sympathisais avec diverses personnes, et dansais même de plus en plus souvent avec un jeune homme de 33 ans, des plus élégants, chaleureux, bienveillants à mon égard. Dire que je succombais est un peu fort, mais je prenais plaisir à ...