retour de vacances
Datte: 27/08/2019,
Catégories:
Hétéro
Vos histoires
... reprenait nos ébats et scrupuleusement, tel un marteau piqueur il me déchirait de plaisirs mes entrailles alors que je lui criais plein de :
- Oui, oui, encore, plus fort, j’aimmmmmmeeeee… !
Me retrouvant le torse écrasé sur son capot encore chaud, maintenue par la chevelure…, jambes ouvertes, il me prenait intensément par derrière, et amusé il me glissait dans l’oreille :
- Imagine ton mari là en face qu’y nous regarde…, qu’il se branle en te voyant ainsi…. ! t’aimerais n’est ce pas… ?
Entre deux râles de plaisirs, mes gémissements de plus en plus saccadés, j’adhérais à son fantasme, et m’imaginais réellement que mon chéri puisse être là…., alors que son sexe fin, des plus doux, s’aventurait vers mon anus !!! Aucune résistance je lui opposais et même réussissais à me glisser une main sur ma vulve en feu, et à chaque coup de rein de sa part, des plus lents, je me triturais mon clito…. J’étais transportée dans un autre monde, et bramais selon ces dires, par la suite, sans vergogne, que j’aimais, que c’était bon et même :
- Oui, oui, mon chéri, prends moi…, sodomise moi, j’aime, je vous veux !!! et fortement je criais mon plaisir pris !!!
- Tous les deux… ?
- Oooohhhhh, ooooouuuuuiiiii bafouillais-je !!!
Je fondais, me liquéfiais, quand amoureusement dans l’oreille il me chuchota, sans vulgarité, muflerie longuement le mot : « Salope » !!! je ne su et pu que lui murmurer que j’aimais, j’adorais lui être ainsi !!!
Prestement il se retirait de moi, et lui ôtant son ...
... préservatif, je gobais accroupie son sexe et goulument le suçais, me laissais pour ainsi dire prendre dans la bouche, jusqu’à ce qu’il m’inonde la gorge, le visage de sa semence… J’étais comme en transe, et le couvrais de baisers, lui débitant moult mots d’amour même, et osant me doigter frénétiquement dés que je le pouvais !!!
Comme des enfants après une grosse bêtise on restait là quelques secondes avant de se faire une petite toilette avec des kleenex et une bouteille d’eau qu’il avait avant de remonter dans l’auto. Assis sur son siège conducteur, portière ouverte, il touchait un bouton pour ouvrir les portes arrière, afin que je puisse récupérer ma petite robe, et encore et toujours en pleine frénésie sexuelle, tant bien que mal je réussissais à m’assoir et m’accroupir entre lui et le volant et tout en le couvrant de baisers, je lui laissais ressentir mes désirs…, encore et toujours nue que j’étais. Entre mots doux et surtout des mots crûs qu’on échangeait, nullement rassasiés étions et telle une dépravée que j’étais à ce moment-là, moi-même reprenais nos ébats lui faisant baisser son siège complètement ! Entre deux caresses, baisers fougueux, on s’accordait, surtout à ma demande, de ne plus se revoir, de garder à tout jamais ce moment d’égarement, et d’en parler à personne….
Sur tout mon amant d’un soir était d’accord, et je me laissais glisser à ces pieds pour reprendre en main son sexe, le caresser, sucer voluptueusement, et tout en l’encensant, le magnifiant, ...