Ma prisone personnelle. (02) - Histoires de Sexe

Ma prisone personnelle. (02)

... chez eux.
—Suis-moi, Serge !
Et j’ai suivi notre coach dans son bureau, il s’est assis à sa table de travail et j’ai fermé la porte derrière moi. Le coach me regardait avec un air sévère ; je ne savais pas quoi penser.
—Serge, j’ai appris que tu parfois tu restais plus tard pour parfaire ta condition physique. Est-ce vrai ?
Mon cœur s’est mis à battre ; c’est vrai qu’il faisait cela simplement pour éviter d’être avec ses coéquipiers dans les vestiaires et sous la douche et qu’ils ne découvrent sa cage de chasteté. Donc…
—Oui, coach.
—C'est bien que tu travailles dur, mais il est aussi possible que tu surmènes ton corps et, ne pas laisser ton  corps se reposer suffisamment peut avoir d’énormes conséquences. Tu comprends, n’est-ce pas ?
—Oui Coach.
Ai-je dis en réaffirmant de la tête.
—Pour être sûr que tu ne sois pas blessé, je vais faire un examen de ton corps superficiellement seulement puisque je ne suis pas toubib.
Le coach s’est levé et m’a dit :
—Déshabille-toi complètement, s’il te plaît.
Je me suis figé et j’ai balbutié... 
—Coach,  je …
—Serge, je ne peux pas te laisser partir avant d’avoir vérifié ton corps à la recherche d’éventuels blessures musculaires.
M’a lancé mon entraîneur avec un visage sévère. D’abord, je pensais qu’il plaisantait mais comme il restait devant moi, les bras croisés sur sa poitrine. C’est donc à contrecœur que j’ai commencé à ôter mon survêtement et mon maillot de corps. Et je me trouvais donc torse nu face au coach et tout en ...

... continuant à me mettre à poil ne gardant que mon boxer j’entends le coach me dire :
—Très chouette chaîne que tu portes, Serge.
—Merci, coach… je ne l’enlève jamais !
Je bluffe évidemment. Mais le coach ajoute en montrant mon boxer du doigt :
—Je vois ! Mais Serge, j’ai dit de tout enlever !
J’étais totalement par la frousse…
—Tu devras de toute façon le faire, Serge ! Autant en finir maintenant, non ?
Je n’avais pas de plan B ; je ne pouvais que lui obéir. Alors, très lentement, j’ai mis mes doigts sous l’élastique de la taille et j’ai baissé mon boxer jusque sur mes chevilles révélant au coach  le jockstrap blanc que je portais aussi. J’ai enlevé le boxer et l’ai mis avec mes autres vêtements.
—Tout en muscle… comme un garçon encagé doit l’être !
Mon cœur s’est arrêté…
—Co… comment vous savez, coach ?
Il s’est approché de moi et pointant mon torse il a dit :
—Ton cadenas. Tes coéquipiers ne savent pas, mais j’en sais plus. La chaîne est bloquée autour du cou pour que tu ne puisses pas l’enlever.
Puis il a jeté un œil  sur mon entrejambe et a ajouté :
—Comme pour la cage de chasteté autour de ta bite. Ai-je raison, mon garçon ?
Et instinctivement j’ai placé mes mains pour cacher mon service 3 pièces.
—Au garde-à-vous, Serge !
J’ai prestement ôté mes mains et j’ai pris une attitude de soldat soumis et obéissant. Le coach a commencé à faire le tour de mon corps et à part ma chaîne, mon jockstrap  et ma cage, j’étais nu comme un ver. J’avais le sentiment que le ...