1. Ma prisone personnelle. (02)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires

    ... coach se léchait les babines : il avait devant lui un garçon encagé à sa merci ; il pouvait faire de moi ce qu’il voulait !
    Qu’allait-il faire de moi. Il continuait à tourner autour de moi admirant, je crois, mon corps musclé, mes épaules larges c’est vrai que chaque muscle sur mon corps est bien dessiné. Mais je sentais que quelque chose d'autre attirait  l'attention du coach.
    Et quand je l’ai entendu dire :
    —Quel  joli cul que tu as là, Serge Carson.
    Oui, je le savais trop bien ; deux belles fesses bien galbées, deux beaux muscles fessiers, formées et entretenues par le foot, les entraînements. Et, le coach m’a donné une légère tape sur ma fesse droite.
    Je me suis reculé un rien mais je n’ai rien dit. J’aurais pu m’encourir, mais j’étais pétrifié comme une statue. Quelque part j’étais gêné. J’étais en fait exposé comme un tas de viande et examiné par un homme qui connaissait maintenant mon secret.
    Et une autre partie de moi avait peur ; je ne savais pas ce que l’entraîneur ferait si je n’obéissais pas… mais une toute petite partie en  moi était inexplicablement mais fortement excitée.
    L’entraîneur s’est mis derrière moi et a placé ses mains sur mes hanches, juste au-dessus de l’élastique du jockstrap et j’ai frissonné à cause de ses mains froides et il m’a murmuré à l’oreille : 
    —J’avais dit de tout enlever, n’est-ce pas petit ?
    Et je tremblais quand j’ai dit :
    —Oui, coach.
    Alors il a mis ses pouces de chaque côté du jockstrap et tout doucement, il a fait ...
    ... glisser le jock au-dessous de mes hanches, le long de mes cuisses et mollets musclés jusqu’à mes chevilles. Et le jock est tombé à mes pieds révélant ma petite cage de chasteté en métal.
    Quand il l’a vue, le coach a souri et m’a demandé :
    —Quand est-ce que tu as vidé tes couilles pour la dernière fois ?
    Je n’osais pas lui dire que cela faisait près de 3 mois aussi j’ai menti :
    —35 jours, coach
    Je me sentais vulnérable comme une pièce de viande devant un lion affamé. L’entraîneur n’a laissé entendre qu’un vague 
    —Hmmmm
    Mais déjà il plaçait sa main sur mon épaule nue et j’ai senti comme une étincelle traverser mon corps excité et j’ai gémi en émettant une onomatopée :
    —Awahhhh !
    —Tu es très sensible, n’est-ce pas petit ?
    M’a dit le coach en prenant entre ses doigts mon téton gauche. Et à nouveau j’ai émis un
    —Awahhhh … s’il vous plaît… S’il… S’il vous plaît, coach,  arrêtez !
     Ses doigts envoyaient comme des secousses électriques de mon téton jusque dans ma queue encagée et je sentais ma cage s’enfoncer dans la chaire de ma bite toute dure. Le coach a souri et m’a lancé :
    —Es-tu sûr de cela mon garçon ? Dois-je vraiment arrêter ?
    Sa main était descendue jusqu’à ma cage et il me caressait maintenant mes couilles avec sa main droite. J’ai regardé mon entrejambe. Ma queue et mes couilles étaient entre les mains d’un autre homme.
    —S’il vous plaît coach, je ne veux…. Ahhhhhh 
    Le coach tapotait ma cage avec sa main droite, faisant vibrer ma bite devenue très douloureuse et ...
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