Ma prisone personnelle. (02) - Histoires de Sexe

Ma prisone personnelle. (02)

... que j’ai besoin de ma queue pour vivre, j’ai besoin de pouvoir contrôler ma virilité ! 
—Cela t’embête de ne pas devenir totalement dur et de ne pas pouvoir de pénétrer dans quoi que ce soit, ni même de pouvoir te palucher et te branler ! Fous-toi à poil !
—Bien, maitre.
Et j’ai obéi. Une fois tout nu, il a pris la clé et a ouvert ma cage et il m’a branlé mais sans me faire jouir puis, il m’a fourré un tube dans le méat et m’a ensuite écrasé les couilles jusqu’à ce que je ne bande plus du tout puis il m’a remis la cage. 
J’étais au bord des larmes. Il a repris la parole. 
—Alain, m’a montré des photos de toi ; tu n’es pas mal ! Tu pratiques quel sport ?
—A l’école, maitre, je fais surtout du foot et j’entretiens ma condition physique mais depuis que je porte ma cage, je ne fréquente plus la salle de fitness.
—Tu devrais pourtant y retourner !
—Mais, maitre, qu’en sera-t-il lorsque je me change dans les vestiaires ? Et si les autres sportifs voient ça ?
Je ne voulais pas lui dire que même à l’école j’avais obtenu un statut spécial du coach à condition que je lui obéisse après les entraînements officiels… 
Le gars a souri et m’a dit en m’attrapant par les couilles :
—Alors ils sauront que celles-ci appartiennent à quelqu’un d’autre qu’à toi-même et que tu es incapable de baiser quelqu’un !
Il pressait tellement mes couilles que j’ai dû me plier en 2 que je tombais presque à genoux et il m’a regardé droit dans les yeux et pour me montrer son emprise m’a dit ...

... :
—Compris mon garçon ? 
Moi, j’étais encagé et complètement nu et mes couilles entre les mains de ce mec. Et puis, est revenu dans ma tête cette conversation avec Alain où je lui disais qu’il me fallait plus de fric pour payer mes études tandis que lui me disait que je devais apprendre à me débrouiller sans son fric. En tout cas j’ai répondu au mec :
—Oui, maitre.
—Bon garçon. Maintenant, tiens-toi bien droit, écarte tes jambes et pose tes mains derrière ta tête. 
Et j’ai obéi. 
—Maintenant, lis-moi tout ce qui est écrit sur cette feuille :
—Bien maitre.
Il avait déposé la feuille sur la table et j’ai lu avec beaucoup de moments d’hésitations :
—Maitre, mon corps vous appartient …. Ma bite vous appartient aussi maitre … 
Je sentais ma bite emprisonnée se rebeller mais en vain quant au mec il s’était approché de moi  et j’ai continué à lire :
—Mon trou vous appartient, maitre.
Et une secousse m’a traversé le corps ; le mec avait introduit un doigt dans mon cul. J’étais inquiet : mon maitre possédait mon cul, ma queue était verrouillée ! Avais-je le choix. Je sentais différents picotement traversés mon corps. Mais le texte n’était pas entièrement lu :
—Tout ce que je fais, je le fais pour plaire à mon maitre.
Dans quoi je me suis engagé par amour pour Alain ? Non, je dois être franc avec moi-même… par besoins personnels !
—Brave petit garçon !
Et il a frappé une dizaine de fois sur ma cage et quelques gémissements se sont échappés de ma bouche.
—Il commence à faire ...