1. Ma prisone personnelle. (02)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires

    ... peau.
    Je sentais vraiment le regard du coach sur mon corps exposé à sa vue et un mélange de nervosité et d'excitation tourbillonnait dans mon corps mais je faisais surtout beaucoup d’efforts pour ignorer les yeux scrutateurs de mon entraîneur.
    Ce n’est qu’au moment où je me rinçais que je me suis rendu compte que je n’avais pas de serviette ni aucun de mes vêtements. J’ai regardé derrière moi et le coach était toujours assis dans son fauteuil avec les jambes bien écartées.
    Je ne pouvais pas ignorer que dans son pantalon, une petite tente s’était formée et le coach a parlé avant que je ne puisse dire quelque chose :
    —Ton sac et ta serviette est sous mon bureau.
     Il me fit un signe comme pour me montrer. Je suis sorti de la douche, nu et trempé et comme j’allais récupérer mes affaires, le coach m’a donné une chiquenaude sur les fesses et j’ai émis un gémissement. Mon sac de sport, mes chaussures, ma serviette, tout étaient empilé sous la table et je me suis séché.
    Le coach souriait. Et m’a lancé :
    —Prends tout ton temps pour t’habiller. Les bâtiments doivent être déserts maintenant.
    Mon entraîneur a pris son sac, s’est dirigé vers la porte, et m’a dit :
    —Je te vois donc lundi, mon petit encagé !
    J’avais l’impression qu’il ricanait et il a quitté le bureau, fermant la porte derrière lui et me laissant seul pour réfléchir à cette nouvelle situation.
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    Puis, un jour, Alain, m’a annoncé que j’aurais une convocation bientôt sans m’en dire plus sauf que je devais  obéir ...
    ... aveuglément.  J’étais assez étonné car jusqu’à présent, Alain, ne marchait pas dans ces combines parce que cela ne le branchait pas disait-il les semaines avant son départ mais maintenant je devais me rendre chez un inconnu et cela m’excitait énormément ; allait-il enfin tenter d’assouvir mes fantasmes ? Est-ce ma cage de chasteté qui le mettait à l’aise ?
    En tout cas, le soir même, il m’envoyait une sorte de contrat où je reconnaissais que c’était de mon plein gré que je portais une ceinture de chasteté pour sortir de mon animalité et que je n’obéissais qu’à Alain ou son représentant. J’avais signé volontiers parce que cela m’excitait.
    Le lendemain, j’avais un courriel d’Alain, me disant que je devais être à 20 heures pile à l’adresse indiquée dans le message. Je devais avoir le pubis, les couilles, les aisselles glabres. Pas d’indications sur la tenue. Et, en PS, il était écrit que je devais m’y rendre à pied. Ce qui n’était pas un vrai souci, c’était à moins d’une demi-heure de marche de chez moi.
    Une maison isolée, avec jardinet, j’ai sonné et la porte s’est ouverte et devant moi se tenait un homme d’une bonne trentaine d’années. Je ne savais que faire aussi, je n’ai pas bronché.
    —Tu m’appelleras, maitre Edouard. J’ai ici une copie du contrat que tu as signé ainsi que la clé de ta cage et de ton collier.  
    J’écoutais sans broncher mais dans ma cage ma queue faisait déjà des siennes.
    —Pourquoi, Serge, devrais-je t’ouvrir ta cage ? 
    —Maitre, je me suis rendu compte ...
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