1. Ma prisone personnelle. (02)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires

    ... limites de ma cage. La pression était telle que j’allais presque frapper ma bite contre un retro pour faire diminuer la pression car je ressentais des douleurs jusque dans mon estomac mais aussi, comment dire, je ressentais des vagues de plaisir partout dans mon corps. 
    Les lumières des réverbères, les phares des voitures doivent sûrement aussi rendre ma quasi nudité encore plus belle …à voir le nombre de passants qui m’ont regardés…mais en fait, malgré que je sois à poil ou presque, je ne suis qu’un gars ordinaire qui rentre chez lui. 
    Enfin je suis à la maison ; grand temps de contacter mon petit ami. J’ai ôté mon slip et par Whatt’s App j’ai tenté de joindre Alain mais en vain et par Skype, pas plus de résultat. J’étais assez déçu puis vers minuit, j’étais déjà au lit j’ai reçu un texto  que j’ai bien relu 10 fois en pleurant.
    Salut, Serge, le chemin que nous avons entamé ensemble s’arrête ici. Pour combler ton désir à la fois de soumission et de te donner à d’autres hommes,  je t’ai offert à maitre Edouard qui s’occupera de toi dès maintenant. Ne tente pas de me retrouver ; je ne peux te rendre heureux. Alain.
    J’étais désemparé, totalement foutu mais ma bite, elle, ne se calmait pas et tout se mêlait dans ma tête : ma cage, ce que je venais de vivre en slip, les mots d’Alain qui mettaient à vif mes faiblesses : ma soumission et mon envie des mecs.
    Ma queue palpitait toujours dans ma cage et j’ai décidé de prendre une douche glacée mais cela n’a rien changé. Alors, ...
    ... comme une sorte de punition, j’ai remis le slip rouge vif et je suis ressorti de mon appart pour faire un jogging et tenter de me calmer.
    Je ne courrais pas vite, quelque part, j’avais besoin que les gens me voient, ils devaient regarder mon corps et il ne faisait aucun doute que les gens ne pouvaient pas confondre mon slip rouge vif avec un quelconque short de jogging.
    Tout cela peut paraître absurde mais je continuais à sentir ma bite bouger dans sa cage et en outre, le métal froid du cadenas sur ma poitrine me donnait une sorte de cadence que je m’obligeais de garder. Le comble c’est qu’à chaque pas, ma bite se durcissait et j’étais balancé entre excitation et douleur. 
    Après une bonne demi-heure, je me suis quand même dirigé vers mon immeuble et au lieu de prendre l’ascenseur j’ai pris les escaliers de service mais avant cela comme punition, j’ai glissé le fameux slip rouge vif le long de mes cuisses et je l’ai enlevée t j’ai grimpé les 5 étages tout nu sans me presser.  Ma peau était moite et je transpirais et dès que j’avais fermé la porte derrière moi, j’ai décidé de prendre une autre douche froide. En passant devant le miroir, j’étais presque en admiration devant mon propre corps.
    Mon torse en forme de V et mon petit six pack font merveilles et cette cage entre mes jambes, je m’y suis habitué…. Enfin presque. De profil, cette cage se voit tout aussi fortement mais je n’ai pas d’échappatoire : je suis victime de mes fantasmes, de mes extravagances et maintenant je ...