1. sortie du samedi soir....


    Datte: 27/01/2020, Catégories: Hétéro Vos histoires

    D’une manière naturelle, sans vulgarité, depuis longtemps je ne porte que des dessous des plus affriolants, je peu sortir en toutes occasions, en étant totalement nue dessous, sans que mon mari désapprouve, me blâme. Ma peut-être inconscience…, extravagance, m’a amenée à connaitre quelques situations parfois : « délicates, compliquées, et,  douces et exquises aussi », sans jamais choquer qui que se soit. C’est notre façon de vivre nous ne devons rien à personne, et puis des autres on s’en fiche d’ailleurs pas mal. C’est ainsi que samedi passé, comme il nous arrive quelques fois dans l’année, nous nous sommes rendus, mon mari et moi, dans un grand casino connu et reconnu de notre région, habituellement bondé. Comme à l’accoutumée mon mari lui jouait à la roulette, passionné qu’il est de ce jeu, moi aux machines à sous, mais pas comme c’est devenu l’usage maintenant avec un ticket, mais encore avec les jetons… C’est tellement plus agréable, exaltant d’entendre tomber les pièces. Bref c’est le « modernisme » avec tous ces désagréments, déplaisirs !!!
    « Concentrée » sur ma machine, ayant récupérée ma mise, et gagnant un peu, j’étais nullement obsédée par ma robe remontée un peu haute, et très vite j’étais interpellée…, charmée-même par un jeune homme qui jouait lui aussi à mes côtés, et au fil de mes mises, il me demandait de lui garder la machine qu’il revenait. Là oh surprise, il revint avec deux coupes, et décontenancée que j’étais j’acceptais difficilement et on c’est ...
    ... mis tout en jouant à discuter de tout et de rien, alors que  son « charme » commençait à opérer en moi, sans savoir pourquoi !!!
    Comme un automate d’ailleurs, alors que lui avait perdu sa mise, je me laissais convaincre d’allez encore une fois au bar. Perchée et assise sur un haut tabouret, malgré le monde qui nous entourait, je lisais tout de même un message de mon mari, qui me « distinguait » au loin et que plus qu’étonnée j’étais à ce que cela « l’excite » de me voir, savoir avec cet inconnu ! Mais le plus « incroyable » fut sa dernière phrase où il était mentionné :
    -	Amuse toi bien mon amour…, profite…, savoure…,  on se retrouve à 4h à la fermeture, et on se racontera notre soirée, belle, juteuse ou pas… : OK ?
    Je ne sais pourquoi, comment, je glissais à Jean Etienne, que c’était mon mari et qu’il me demandait si je passais une bonne soirée… 
    -	Vous êtes seules… ?
    -	Non mais il doit venir me chercher à la sortie de son travail à 4H lui annonçais !!!!!!!
    Je ne sais pas ce qui m’a réellement pris à ce moment-là, mais comme enflammée, animée des plus folles envies, de me laissé aller, d’oser tous les écarts de conduite j’étais, et me laissais carrément séduire par Jean Etienne qui appréciait, et encore quelques coupes on buvait riant de tout sans se soucier de rien. D’ailleurs devant le bar bondé serrés les uns contre les autres, alors que Jean Etienne s’aventurait à m’effleurer la cuisse, je ne le repoussais même pas, et discrètement nous nous sommes mis à flirter… ...
«123»