sortie du samedi soir....
Datte: 27/01/2020,
Catégories:
Hétéro
Vos histoires
... excuse, je réussissais à abandonner Jean Etienne, et j’entrevoyais au loin mon mari s’approcher de la sortie, je me précipitais et le rejoignais, en le suppliant de vite quitter les lieux, en récupérant mon manteau au vestiaire !
Malgré un certain enthousiasme qui m’animait encore, j’insistais à vite quitter les lieux, et quelques km plus loin, comme pour me faire pardonner, comme pour me laver de mes exubérances passées, au bout d’un chemin, pris sur une route déserte, on stoppait l’auto et dans l’auto, contre celle-ci, et même sur celle-ci malgré la fraicheur de la nuit, on s’aimait d’une manière des plus attendrissantes, captivantes, étonnantes, on s’aimait jusqu’à me laissée prendre, d’une manière « presque » bestiale, animale-là, qui me fit jouir intensément !!!
Des plus amoureux…, fiers, exceptionnels, coquins, polissons, il était, et alors qu’on s’ébattait sur le capot de l’auto, ne portant que mon manteau, ma guêpière, tout en me martelant au plus profond de mes entrailles, il me souffla son plaisir ultime, de me voir, savoir…., cochonne et salope… ! Qu’il fallait strictement rien changer, et qu’il était prêt à m’accompagner, me guider, à lui être encore plus chienne, que c’est ce qu’il désirait le plus !!!
Là chose « inhabituel » chez nous, n’étant pas une fervente adepte de la chose, il me retourna me plaqua fortement sur le capot encore chaud, et sa main guida son sexe dans mes fesses, alors que je le pressais, insistais qu’il allait me faire mal…, son ...
... sexe s’enfonçait en moi et malgré une petite douleur, comme jamais de ma vie là j’allais jubiler, exulter de plaisirs, et agrippée à ma chevelure, me tambourinant les entrailles, tout essayant d’encore et encore s’enfoncer en moi, il me fit lui affirmer qu’effectivement j’allais tout faire, tout tenter, et m’hasarder à lui être des plus cochonnes des plus salopes des femme mariée, rien que pour lui, et pour tout l’amour qu’il me donne et donnera…
Stoppa nos agapes, je me relevais, et tout en le caressant enlacés qu’on était, je l’interrogeais sur ce qui l’excitait de me voir, savoir avec un autre, et même ajoutais, accrochée à son cou que j’étais maintenant :
- Mon amour… ? vicieux, immoral que tu ai, tu aime quand je te cocufie…, que je sois dans les bras d’un autre…, tant que çà… ???
Et là m’avouant ne pouvoir se contenir, un puissant jet de sperme s’écrasait sur moi, et effectivement dans son exaltation il me cria presque qu’il voulait que je sois ainsi, qu’il désirait, consentait, à avoir une épouse, un peu plus que salope…, un peu plus que cochonne…, et même un peu plus que putain, rien que pour lui, pour moi, pour nous, et que cela resterait secret entre nous !!!
Et presque anéantie de fatigue, plaisirs pris, amoureux que nous sommes, je lui promettais de faire tout mon possible avec son aide pour lui « offrir » ce qu’il me demandait…, et tendrement on reprenait la route, malgré la console centrale de l’auto, qui nous empêchait d’être encore plus serrés.