Cindy, ma demi-soeur, 2e partie - Histoires de Sexe

Cindy, ma demi-soeur, 2e partie

Cindy agissait comme à son habitude, comme s’il ne s’était rien passé entre nous la semaine dernière. Je ne pouvais pas en faire autant, mon regard sur elle avait changé, je ne la haïssais plus. Je m’étais mis à ressentir des sentiments ou plutôt des pulsions envers elle.La chaleur continuait de plus belle, l’occasion pour Cindy de se promener dans la maison à moitié habillée. Sa mère lui avait fait le reproche un soir où elle était venue manger en sous-vêtement. Elle avait simplement ri en prétextant que ça ne changeait pas des maillots de bain en été.Je commençais à croire qu’elle le faisait pour me provoquer, j’en eus la confirmation le soir même lorsqu’elle vint se frotter à moi pendant que je faisais la vaisselle. Ses petits seins fermes se mouvaient dans mon dos tandis que ses mains se montraient baladeuses… Je voulus me retourner, mais elle s’éclipsa aussitôt. C’était sa nouvelle manière de jouer avec moi, avec mes nerfs. Son corps était devenu une arme pour me torturer.L’orage tant attendu arriva enfin. Nos parents s’étaient absentés pour le week-end. Il était vingt-trois heures lorsque le premier coup de tonnerre résonna dans la maison, et avec lui le cri de Cindy.Rien ne l’effrayait plus que l’orage, je n’ai jamais vraiment compris pourquoi les gens en avaient peur…J’entendais Cindy crier de plus belle.D’ordinaire je n’y prêtais pas attention, mais cette fois était différente. Je ne ressentais plus aucun plaisir à l’imaginer terrifiée sous sa couette, au ...

... contraire, j’avais envie de la rejoindre, de la réconforter, de l’enlacer.Au bout du dixième cri, je me décidai à me lever. La lumière ne marchait plus, l’orage avait dû couper le courant sans que je ne m’en aperçoive. Je fouillais de la main le sol à la recherche de mon short et en sortis mon téléphone. Le flash serait suffisant pour traverser le couloir sans heurter les meubles.J’ouvris la porte, résigné à aller la rejoindre. J’eus un mouvement de recul en la trouvant juste au pied de la porte, le poing fermé et en l’air.« J’allais venir te voir… lui dis-je calmement.— Est-ce que… je peux entrer ? demanda-t-elle toute apeurée.— Bien sûr. »Un nouvel éclair surgit, elle se jeta aussitôt dans mes bras. Elle tremblait et se mit même à sangloter. Je lui caressai les cheveux dans un geste réconfortant. Je me rendis compte que je ne l’avais jamais vu dans un tel état.Elle se glissa dans mon lit, attrapa la couverture que j’avais rejetée au pied de celui-ci et la fit remonter jusqu’à son petit nez. Je me glissai à mon tour sous la couette, du côté droit. Des images de la dernière fois où Cindy se trouvait dans mon lit me revinrent, je fis un effort pour calmer l’érection naissante dans mon caleçon.Un nouveau coup de tonnerre projeta Cindy dans mes bras. Elle posa sa tête sur mon torse, enlaça mon bras et passa sa jambe sur les miennes. Son genou remontait lentement vers mon sexe tendu malgré moi. Elle se figea quand enfin elle arriva dessus.« Oh. »Sa jambe glissait lentement sur mon sexe. ...