1. Cindy, ma demi-soeur, 2e partie


    Datte: 22/11/2017, Catégories: Première fois Inceste / Tabou

    ... son vagin. Je voulais être le plus doux possible, alors je commençais de lents va-et-vient. Elle gémissait de nouveau, ce qui devait être bon signe. Je m’enfonçai lentement au fil des mouvements. Son vagin m’acceptait sans difficulté malgré son étroitesse. J’arrivais enfin au bout de mes vingt centimètres, je m’immobilisai.Je m’inclinai sur Cindy pour aller l’embrasser une fois encore. J’avais pris gout à ces lèvres pulpeuses, à sa langue si douce qui venait parcourir la mienne.« Tu vas bien ? »J’eus pour réponse un acquiescement de la tête et de légers mouvements de bassin.« C’est bon, dit-elle, tu peux y aller. »Je reculai mon bassin lentement avant de me renfoncer en elle d’un geste vif. Elle émit un petit cri, je réitérai l’expérience. Elle cria encore, la fois suivante aussi.« Encore, murmurait-elle. Encore… Plus fort. »Je m’activais selon son désir, cette fois mon bassin allait et venait sans prendre de pause. Elle gémissait, de petits hummm et hannnn comblait le silence laissé entre deux coups de tonnerre. ...
    ... Absorbés tous deux par nos occupations, nous n’y prêtions plus attention.J’aurais aimé continuer ainsi de longues minutes, des heures entières. Mais je sentais déjà de petites crampes montantes en moi. L’éjaculation approchait. Les gémissements de Cindy redoublaient de vigueur. Son corps se raidit de nouveau, de légères convulsions la parcoururent tandis que les parois de son vagin se resserrèrent sur mon sexe. Elle était parcourue d’un nouvel orgasme, la pression me fit céder. Dans un soulagement divin, je sentais mon sexe expulser toute la semence dont il disposait. Mon bassin se contractait sous l’impulsion intense que l’éjaculation me procurait.Entièrement vidé, je m’affalai sur Cindy, nos deux têtes reposaient l’une contre l’autre. Je glissai sur le côté, elle s’allongea sur moi. L’orage battait son plein dehors.« Je peux rester ? J’ai moins peur avec toi…— Reste autant que tu veux. Je suis là, tu n’as rien à craindre. »Malgré les éclairs et le tonnerre, elle finit par s’endormir ainsi, entièrement nue dans mes bras. 
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