1. Perverse Florence


    Datte: 22/11/2017, Catégories: Partouze / Groupe Hardcore, Lesbienne

    ... des amis d’enfance, de tout, de la vie, de nos espoirs, un peu de nos accidents, de nos rêves évanouis, de ceux qui les remplaçaient.Chose étrange, c’étaient les mêmes à quelques points près…Trouver l’âme sœur, vivre un second souffle, choisir un port d’attache, calmer nos craintes, regarder un peu plus loin pour la première fois depuis longtemps, pour moi, avoir un enfant, un mari… S’aimer…Il connaissait ma réputation, je lui ouvris mon cœur et lui dévoila les détails.Il me confia ses échecs, financiers, matrimoniaux, m’expliqua sa femme volage après un temps de bonheur, son métier qui le prenait, l’enfant qui ne venait pas… Elle lui avait caché une opération ancienne l’avait rendue stérile… Il perdit pied, ce mensonge le conduisit à friser la faillite, pendant qu’elle le cocufiait sans se cacher…Ils se séparèrent… Il perdit ses amis, se réfugia dans son bateau et combattit pour refaire surface.Il rattrapa ses pertes financières, changea d’associé, repartant presque à 0.Il mit deux ans seulement pour revenir là où il en était avant…Son affaire fonctionnait seule, il vivait de ses rentes, était aussi à l’abri du besoin…Nous en étions au même point. Une partie de nos vies réussie, une autre en devenir, des rêves pleins la tête… Mais la sagesse nous dictait d’aller doucement…Ses questions au sujet de mon passé étaient légitimes, non, je n’étais pas une pute rangée des voitures, d’abord par mon âge, ensuite j’avais gagné mon argent honnêtement, déclarant mes revenus, le ...
    ... sexe n’avait pas dépassé mes autres activités auxquelles je tenais, le restaurant, la boutique, l’atelier de création, que mes gérants menaient à bien désormais…Je roulais aussi en Mercedes, la même que lui, un autre point commun…Il sentit mon désir de fonder une vraie famille, lui à 45 ans rêvait d’une nouvelle vie.Nous sommes restés deux mois à chasser nos doutes, tantôt chez moi, tantôt chez lui, au port, retrouvant les anciennes habitudes, quand je me cachais moi aussi dans mon voilier, seule, pour échapper à la vie…Ces deux mois furent délicieux, je me trouvais plus active, posée, je m’intéressais à lui, j’ouvrais des magazines, sur la déco, le mariage, à deux doigts d’arrêter la pilule…Nous devenions complices, il me fit découvrir ses quelques vrais amis, je lui présentais quelques personnes de mon entourage, celles qui m’avaient soutenue, aidée, portée au succès, consolée…Ils se ressemblaient… Nos amis pouvaient devenir amis entre eux…Il m’avoua avoir eu des relations avec l’une ou l’autre, le sexe était aussi important que prendre des vacances, s’aimer, se sentir bien, en harmonie, et passait par cet accord intime et partagé ourlé de confiance.Il aima ma façon de pimenter ma libido, aimer sans compter, toute une nuit, puis rentrer et oublier…Il me présenta un couple un samedi soir. Ils se connaissaient depuis quelques années.Ils étaient très beaux, elle rousse, la quarantaine flamboyante, yeux verts, svelte, bien dans sa peau. Karine, se montra ouverte, moderne, ...
«12...91011...19»