Perverse Florence
Datte: 22/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Hardcore,
Lesbienne
... dons.Florence et Jade, deux égéries incontournables du monde de la nuit, nous crevions les plafonds des soirées mondaines, des yachts de luxe, des palaces de la côte et des villas de milliardaires.Je gagnais ma vie la nuit, en faisant ce que j’aimais le plus, l’amour ! Et le jour je soignais les plaies de nos assistées, les dirigeais vers tel ou tel service, parfois à l’étranger.Avortement, misère, bassesse de la gente masculine, jeunes filles violées, je vis de tout, pleurais au début, puis gagnais en confiance et me battit pour elles.La plupart ne connaissaient pas nos activités nocturnes, nous ne désirions pas faire de la pub, et surtout ne pas les inciter à suivre notre exemple, bien que le sexe soit aussi une thérapie.Dépassées par le nombre de femmes en détresse, après seulement quelques mois, nous firent le choix d’un passage de flambeau, délégant à des associations notre action bienfaisante.Jade leur loua la villa, pour un euro symbolique… Nous fîmes notre chemin, princesses de la nuit, égéries du plaisir, etc…Nous logions à l’année dans une villa de rêve, disposions d’un coupé sportif, étions de toutes les manifestations, même le jour…Nos garde-robes prenaient une pièce entière, nous étions complices et toujours amantes…Cela dura trois ans…Jade tomba amoureuse, accident de parcours, elle voulut le suivre, se marier, faire des enfants…Je repris ma vie un cran en-dessous, appartement en ville, Clio, j’étais à l’abri financièrement, je m’associais à un restaurateur ...
... réputé, un deal strictement financier, qui m’amena à ouvrir et gérer un établissement en bord de mer, une boutique de prêt à porter, dans laquelle je créais ma ligne de maillots de bain qui fut un succès au-delà de mes attentes…Tous ces souvenirs, ces adresses, ces amis dont la liste s’allongeait au fil du temps, constituait un pécule important, de quoi vivre sans travailler…Je devenais plus sage, me calmais sur l’alcool, sur le sexe, je me pris à chercher l’homme de ma vie…J’avais la quarantaine en vue, au loin, mais si proche certaines nuits…En ce samedi soir, je cherchais l’âme sœur dans un pub branché de la ville où j’avais mes entrées.Il fallait montrer patte blanche et être pistonné pour franchir le Saint du Saint.Mi salle de jeu, mi tripot, fréquenté par des notables, des truands notoires, parfois les mêmes…Je m’y réfugiais non pour le jeu, mais pour l’esprit, la détente, la musique.Salle de danse obscure où se faisaient et se défaisaient des alliances, des contrats, et des rencontres extra-conjugales, discrètes autant qu’éphémères, entre gens du monde…J’y avais rencontré quelques hommes et femmes connus, recherchant la même chose que moi, évasion et plus si affinité…Mon restaurant était connu, et bien que n’y aille pas régulièrement, on me reconnaissait, et on se souvenait de Florence et Jade…Paula me fit rencontrer Jules, qui me présenta Marina avec laquelle je terminais la soirée.Elle passait souvent à la télé régionale, dynamique actrice de la vie locale, un peu ...