1. Notre premiere fois


    Datte: 22/11/2017, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail hotel, intermast, Oral 69, occasion,

    Adeline est une jolie femme d’un mètre soixante-huit, l’allure sculptée par quelques années de sport, elle a les cheveux châtain clair ou parfois blonds et de grands yeux noisette. Lorsque je l’ai connue, elle était mariée, elle avait l’air heureuse. Moi, c’est Arthur, sportif également, je mesure un mètre soixante-quinze. Pour le coup, j’étais en pleine turbulence amoureuse. Nous nous connaissons depuis quelques années, nous nous sommes rencontrés au sein d’une nouvelle entreprise, nous étions les pionniers, l’ambiance y était très décontractée et il n’était pas rare que nos discussions partent en live sur des sujets grivois. Adeline n’était jamais la dernière à relancer le débat et à utiliser un vocabulaire qui pouvait choquer, ce qui ne manquait pas de la faire rire aux éclats, constatant les têtes dépitées de certains de nos jeunes collègues. Une ou deux fois, au détour de délires verbaux, j’ai bien essayé de lui tendre une perche, sans succès. Après quelques mois de collaboration, elle a demandé à me voir. J’occupais le poste de responsable de la plate-forme où nous travaillions : — Arthur, je voulais t’informer de ma démission, j’ai trouvé du boulot dans un secteur qui me plaît, je voulais te l’annoncer personnellement, et te dire que je n’oublierai jamais notre collaboration, je ne t’oublierai pas non plus. Elle avait la voix tremblante, les yeux brillants, et moi le cœur serré. ~000000~ Ça faisait trois ans qu’elle était partie et malheureusement je n’avais plus ...
    ... trop de nouvelles, juste un échange sur FB où elle m’annonçait la présence d’un amant dans sa vie devenue très compliquée avec son mari. Bref, son couple vivait des heures difficiles. Je lui avouai que moi également j’avais une maîtresse, la faute à la rencontre fortuite avec une de mes ex en mal de sensations. Il y a dix jours, alors que j’étais dans le train pour rentrer chez moi, une vibration de mon portable me sort de ma lecture, c’est un message d’Adeline. — Coucou, comment ça va ?— Coucou, ça va bien et toi, content d’avoir de tes nouvelles ! Une conversation s’engage — …bla-bla-bla, j’ai eu une évolution professionnelle.— C’est super ça et…blabla… Après quelques minutes, notre conversation prend un tournant inattendu. — Tiens au fait, avec Greg c’est de pire en pire et avec mon amant, ça n’a pas fonctionné. J’allai répondre lorsqu’elle a enchaîné : — Je ne sais pourquoi, mais j’ai envie de continuer l’expérience, peut-être n’étais-je pas prête, maintenant je le suis… Cette phrase résonne en moi, un peu sonné par cet aveu, je reprends mes esprits et tente de saisir ma chance ; je me lance : — Ouahhh, tu sais que tu peux compter sur moi.— Compter sur toi, c’est-à-dire, tu penses à quoi ?— Ben, je sais pas, si tu veux explorer d’autres pistes, j’aimerais être celui avec qui tu puisses continuer l’expérience. Enfin, tu vois ?— Non, c’est pas très clair : je ne comprends pas, explique-moi. Le jeu est lancé, la complicité d’autre fois retrouvée, elle s’amuse à me pousser dans ...
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