Notre premiere fois
Datte: 22/11/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
intermast,
Oral
69,
occasion,
... l’heure pour nous de nous sustenter. À regret, nos corps se séparent et nous entamons avec gourmandise les mets déposés sur une petite table dans le coin de la chambre, nos sushis, makis et autres sashimis, sont engloutis. Le silence marque la trêve, nos mains se frôlent de temps à autre, nos jambes se caressent, la tension est extrême, le dernier morceau de poisson est avalé. Elle brise le silence avec son air mutin : — C’était très bon, merci, mon cher !— Tu parles de mon baiser ou de ce que tu as mangé ! réponds-je dans un grand sourire.— Un baiser, quel baiser ? s’esclaffe-t-elle.— Tu ne t’en souviens déjà plus ? dis-je d’un ton bougon.— Ahahah, mais bien sûr que si, mon grognon ! Elle approche ses lèvres des miennes et nos langues recommencent leur danse. Assis sur le lit, nos mains partent à la découverte de nos corps. Je stoppe le baiser et la fais se lever, je veux la regarder, la détailler. Elle est habillée d’une petite jupe, des collants noirs (du moins c’est ce que je crois à cet instant), un petit top aux couleurs multiples assez flashy qui met en valeur sa poitrine. Mes mains caressent ses fesses à travers la jupe, elle se cambre doucement, elle picore mes lèvres, nos bouches se dévorent, nos langues comprennent le message, elles se battent, nos corps se tendent, mes mains continuent leurs caresses, passent sous sa jupe et découvrent que ce ne sont pas des collants, mais des Dim-up. — Uhmmm soupiré-je, ça m’a l’air tentant, tout ça !— On dirait que ça à l’air ...
... de plaire à mon grognon !— Oh que oui, j’ai hâte d’en découvrir encore plus. Le disant, mes mains continuent leur exploration. Elles remontent le long de ses fesses, un morceau de tissu, de la dentelle ou quelque chose qui y ressemble, mes mains découvrent ce que je devine être un boxer, dernier rempart de son intimité. Nos yeux ne se quittent plus, ils explorent, scrutent les moindres réactions de l’autre. Ses mains caressent mes cheveux, elles s’attaquent aux premiers boutons de ma chemise, celle-ci ne résiste pas bien longtemps et se retrouve sur le sol. Je ne reste pas inactif, je retrousse sa jupe et découvre ses jambes gainées de nylon opaque et un magnifique boxer quasiment transparent, laissant deviner un sexe glabre comme j’avais déjà pu le voir lors d’échanges de photos. Quelques bisous sur l’objet de mes convoitises lui arrachent les premiers soupirs, elle me pousse et me voici couché sur le dos. — Monsieur est pressé, on dirait ! Un large sourire lui barre le visage. Je ne suis pas pressé, mais il faut avouer qu’avoir un tel cadeau juste sous mon nez, c’est plutôt tentant ! Elle se pose sur moi à califourchon, ses fesses en appui sur mon sexe toujours emprisonné dans mon jean. Elle ne peut ignorer à présent l’état d’excitation dans lequel je suis. Elle me regarde dans les yeux, elle ondule du bassin et me lance la voix chantante : — Une femme, ça ne se dévore pas, du moins pas de suite, ça se déguste !— Mais j’y compte bien, j’ai bien l’intention de prendre mon ...