1. Sévice (1)


    Datte: 22/11/2017, Catégories: Lesbienne

    ... elle avait tiré le bord de sa robe jusqu’à ses fesses. Sania remarqua que la fille avait mis un porte-jarretelle pour tenir ses bas, et cette découverte l’excita. Elle se mit à trembler, car elle se sentait comme une proie face à un prédateur. Elle savait que l’autre fille attendait qu’elle la regarde, et elle ne pouvait pas s’y résoudre. Sans savoir ce qui pourrait se passer elle en avait très peur. C’était toujours Sania qui sortait en premier, quand le train atteignait la gare de son village. Juste avant l’arrêt, elle se leva et fit demi-tour en évitant de croiser le regard de l’autre fille. Elle s’en alla sans regarder en-arrière, jusqu’à ce que le train ait disparu. Le lendemain, après l’école, Sania arriva dans le train en premier, et cette fois c’est la belle inconnue qui la rejoignit. Sans rien demander, elle s’assit face à la petite blonde, obligeant celle-ci à baisser les yeux devant sa présence intimidante. L’inconnue portait une robe rouge sang, fendue sur le côté, sous laquelle on devinait qu’elle était nue. Il sembla même à Sania que les mamelons de la jeune femme dardaient à-travers la fine étoffe. Quand le train se mit à appareiller, elles étaient toujours face-à-face et silencieuses. Alors la brune recommença de frotter ses jambes l’une contre l’autre, attirant le regard de Sania. Cette dernière releva brièvement les yeux, et croisa un regard braqué sur elle. Elle resta une seconde à lui renvoyer son regard, mais ne le supporta pas et jeta plutôt un coup ...
    ... d’oeil par la fenêtre. Elle s’aperçut alors que l’autre fille avait arrêté de remuer les jambes. C’est alors que sans crier gare, elle fit une chose nouvelle et étonnante: en faisant glisser ses fesses jusqu’au bord de son siège, elle retroussa d’un coup sa robe. Ensuite elle leva un genou et le déplia tout en souplesse, amenant son pied à la hauteur de la poitrine de Sania. Celle-ci n’avait pas osé faire face, mais observait la scène du coin de l’oeil. Elle ne réagit toujours pas quand la belle brune appuya son pied sur elle, entre ses seins, comme pour l’épingler dans son siège avec son talon aiguille. Elle avait fait cela d’un air naturel, sans se gêner, et avait capturé Sania. Cette dernière ne pouvait à-présent plus douter de rien: elle avait supposé tout ce temps que l’inconnue en avait après elle, c’était désormais confirmé. Le problème, c’est qu’elle ne s’en rendait compte qu’après avoir été prise. Dès l’instant où l’inconnue l’avait attrapée avec son pied, Sania s’était mise à haleter. Obligée à regarder son interlocutrice silencieuse, elle croisa son regard comme pour lui demander ce qui lui prenait. Le regard de l’inconnue était comme celui d’un chat: c’était l’heure de jouer avec la souris. En baissant les yeux, Sania put regarder la genre de chaussures que portait sa belle prétendante: il s’agissait de sandales à plateformes, avec un talon très long. Les souliers étaient faits de toile, dans laquelle des dizaines de petits trous formaient un motif floral. Un large ...
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