Sévice (1)
Datte: 22/11/2017,
Catégories:
Lesbienne
... contre l’intérieur de sa cuisse, pour la caresser délicatement. — Enlève ta culotte, petit monstre! Demanda-t-elle. Sania n’aimait pas que l’autre fille la regarde, mais en même temps elle ne voulait pas laisser échapper une occasion d’être touchée par Eva. Avant que l’étoffe ait touché le sol, la chaussure d’Eva était déjà retombée sur la chatte de la jeune fille, qui écarta un peu plus les jambes en lâchant souffle saccadé. Elle devenait folle d’excitation. — Elle aime bien tes sandales. Constata l’autre fille, réapparaissant soudain. Cette intervention fit se raidir Sania, et Eva tonna: — Arrête ça! Elle se tourna vers son amie et lui indiqua: szdsqqct — Tu fais peur à Sania. — Elles font pas autant de manières d’habitude! Rétorqua l’autre. Eva secoua la tête en pressant la vulve de Sania sous sa petite semelle, et puis elle leva sa jambe à la verticale. La chaussure était devenue toute mouillée là où elle avait touché Sania. — Tu me plais de plus en plus. Souffla-t-elle. Tu as envie que je te lèche la chatte? Sania sursauta en entendant cette question. C’était la première fois qu’elle en avait l’occasion; elle n’osait pas répondre. La troisième fille attendait elle-aussi la réponse, et tandis que l’attente s’éternisait elle insista: — Sania? La jeune fille se tourna brusquement vers elle, intimidée, et frissonna violemment en croisant son regard de métal. — J’arrive... Décida Eva, en descendant du canapé. Elle enleva à-nouveau ses sandales, sans doute pour ne pas en ...
... frotter le dessus sur le sol, et se mit à-genoux devant les jambes écartées de Sania. Celle-ci respirait mal et tremblait de partout. Elle ne regardait plus les yeux de la troisième fille, mais sentait bien que celle-ci la regardait fixement. Sa sensation d’oppression était d’un très haut niveau. — C’est ta première fois. Remarqua Eva. Elle attrapa Sania par les genoux et les lui écarta. La jeune fille résistait par réflexe, au bord de la panique, mais sans empêcher sa partenaire de progresser. Celle-ci amena son nez juste au-dessus de la fente dégoulinante, soupira longuement, et tira la langue pour l’effleurer. Sania ne parvint pas à réprimer un soupir de surprise et d’extase, et Eva s’écria: — Oh, tu mouilles de plus en plus. J’aime ça! Tandis qu’Eva léchait Sania, la troisième fille intervint en attrapant cette dernière par le menton, pour la forcer à croiser son regard. Ses ongles pointus s’enfonçaient dans les joues de la jeune fille, qui se mit à geindre de peur en croisant ses yeux gris. La troisième fille ne fit rien de plus, l’agressivité naturelle de ses yeux suffisant à malmener Sania et à la faire gémir continuellement. Eva n’était pas pour rien dans le déclenchement de ces plaintes. Sania gémissait bizarrement, hors de contrôle; chaque minute ses yeux se révulsaient un peu plus, brouillant sa vue et déclenchant une douleur grandissante dans son crâne. Le regard oppresseur de la troisième fille gagnait en intensité, comme si elle sentait et appréciait la souffrance de ...