1. La dette - 02


    Datte: 22/11/2017, Catégories: fh, fhh, extracon, inconnu, boitenuit, fsoumise, vengeance, strip, BDSM / Fétichisme fsoumisah,

    ... se lever. Sans un mot, il la guida à travers la salle. Ils ne s’arrêtèrent pas sur la piste de danse et la contournèrent. — Vous allez bien ? s’enquit-il enfin.— Oui, je crois. Ils longèrent le bar. — Mais, où allons-nous ?— Ne vous ai-je pas dit que vous étiez ici chez moi ?— Chez vous ?— Oui, c’est mon club. Ils arrivèrent devant une porte un peu à l’écart et il se tourna vers elle. — Me faites-vous confiance ? Et toujours ce regard que Kathy n’arrivait pas à soutenir. Elle baissa les yeux. — Oui, répondit-elle enfin. Il posa son doigt sur le lecteur d’empreintes et poussa la porte. Lorsqu’elle se referma derrière eux, le tumulte de la boîte s’estompa aussitôt. — Ce sont nos salons privés, annonça-t-il devant son air interrogateur. Certains de nos bons clients apprécient pouvoir s’isoler un peu. Traversant de lourdes tentures, ils entrèrent dans une pièce à la lumière tamisée, bordée de banquettes où seuls quelques miroirs venaient briser l’uniformité des lambris sombres. — Rebonsoir. Kathy s’arrêta net. Beau-Brun était enfoncé dans l’une des banquettes qu’elle ne pouvait voir en passant l’entrée. Un verre de whisky à la main, il lui adressait un sourire jovial. Elle se tourna vers l’autre homme, le regard plein de questions. — Qu’est-ce que cela veut dire ?— Voulez-vous un verre ? fit-il comme s’il ne l’avait pas entendue.— Non merci, mais…— N’est-ce pas le jeune homme que vous avez subjugué tout à l’heure ? coupa-t-il en se servant un trait de cognac. Elle baissa à ...
    ... nouveau les yeux. — D’ailleurs, en faisant abstraction du fait que vous étiez si collée à lui que vous deviez sentir le moindre soubresaut de son sexe, je serais très curieux de savoir ce qui l’a mis dans un tel état. Kathy rougit franchement à la verbalisation de son petit jeu et à l’image que cela lui renvoyait. — J’attends une réponse… Elle se sentait comme une enfant devant avouer une bêtise. — J’attends une réponse. Le ton était plus ferme et déterminé. — Disons que je l’ai un peu allumé, avoua-t-elle.— Oui, ça, ça ne fait aucun doute… Ce que je vous demande, c’est comment ? Elle se sentait terriblement humiliée de devoir raconter mais elle n’envisagea pas un instant la fuite tant la chaleur qui était née au creux de son ventre coulait délicieusement dans tout son corps maintenant. — Je l’ai laissé explorer mon corps…— Et ?— Je lui ai décrit mes sous-vêtements. Son visage était rouge écarlate. — Et ? Son regard était inquisiteur. — Je… Les mots ne parvenaient pas à franchir la barrière de ses lèvres. — Je n’ai pas que ça à faire.— Je lui ai dit que je n’avais pas de culotte, prononça-t-elle enfin, clairement.— Très bien… Je vois… Pour résumer, vous vous êtes comportée comme la pire des catins. C’est bien ça ?— Oui. Il était inutile de nier l’évidence. — Eh bien voilà. Maintenant les choses sont dites et nous savons à qui nous avons à faire. Il prit une grande lampée de cognac. — Voyez-vous, s’il y a bien une chose que je ne supporte pas, ce sont les allumeuses… Nous allons ...
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