1. La dette - 02


    Datte: 22/11/2017, Catégories: fh, fhh, extracon, inconnu, boitenuit, fsoumise, vengeance, strip, BDSM / Fétichisme fsoumisah,

    ... donc remettre les choses à leur place. Elle releva les yeux pour le regarder, prenant bien soin d’éviter la vue du jeune homme qui la mangeait des yeux, toujours installé sur la banquette. — Montrez-lui ce qu’il veut voir.— Comment ? L’indignation envahissait son visage. — Vous m’avez très bien compris, catin ! Ne jouez pas à la vierge effarouchée et déshabillez-vous. Elle encaissa le qualificatif et ravala sa salive. Ses mains étaient moites et son front perlait, mais il était trop tard pour se poser des questions, elle le savait, c’était inscrit en elle. Elle se tourna alors vers le jeune homme. Ses doigts tremblotants défirent maladroitement le premier bouton du chemisier niché sur le sillon de ses seins, puis le deuxième. « Beau-Brun » s’était redressé et lorsque le chemisier fut entièrement déboutonné, il se tenait assis en alerte sur le bord de la banquette. Sans lâcher son regard, elle se débarrassa du vêtement et le laissa tomber à ses pieds. Il la dévorait des yeux. Elle pouvait sentir l’intensité de son regard qui parcourait chaque centimètre de son corps. L’autre homme se tenait à l’écart en simple spectateur de la scène. Elle avait honte, une honte incroyablement délicieuse qui lui nouait la gorge et lui brûlait les entrailles. Pour ne pas briser son élan, elle enchaîna et descendit le zip de sa jupe qui rejoignit presque aussitôt le chemisier sur le sol. — Fascinant, lâcha l’homme toujours à l’écart. Catin, c’est sûr, mais au moins, vous n’êtes pas une menteuse. ...
    ... Le silence se fit durant ce qui lui sembla une éternité alors que les deux hommes la mangeaient des yeux sans qu’elle n’ose plus bouger un cil. — Vous avez déjà vu quelque chose d’aussi excitant, jeune homme ? demanda le propriétaire des lieux.— Non, c’est la première fois…— Voyez comme cette guêpière sublime ses seins… Et cette chute de reins… c’est diabolique… Marchez donc un peu pour nous, ma chère. Elle tourna le dos à Beau-Brun et s’éloigna vers l’autre bout de la pièce. Aussitôt le miroir face à elle lui renvoya son image. Son 95D déjà fort avenant d’habitude, prenait une arrogance toute particulière moulé et soutenu par le vinyle rouge. Ses hanches tanguaient bien malgré elle et elle imaginait le spectacle de ses fesses roulant pour ses voyeurs, cambrées à l’extrême par ses talons aiguilles. Son sexe nu, finement taillé, venait parfaire le tableau d’une libertine dépravée. L’excitation était telle qu’elle pouvait sentir pour la première fois son jus mouiller l’intérieur de ses cuisses. Elle pria pour que cela ne se voie pas. — Très, très bien… revenez maintenant. Tout en vous appelle le plaisir charnel, ma chère. Elle s’exécuta toujours avec grâce. — Je crois que vous avez mis ce jeune homme dans un sacré état et… Il but une nouvelle gorgée. — … je vous l’ai dit, je n’aime pas les allumeuses. Donnez-lui votre bouche— Ma bouche ? Elle espérait ne pas avoir compris. — Votre bouche, oui. À genoux et donnez-lui votre bouche ! Beau-Brun n’en croyait pas ses oreilles et son ...
«12...567...»