La dette - 02
Datte: 22/11/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
inconnu,
boitenuit,
fsoumise,
vengeance,
strip,
BDSM / Fétichisme
fsoumisah,
... du gland entre ses lèvres et de longues et profondes pénétrations. Ses genoux commençaient à la faire souffrir et le jeune homme semblait bien décidé à profiter de la situation sans se presser. L’autre homme s’était fait oublier mais n’en perdait pas une miette, debout à quelques pas de la scène. — Très bien, assez joué, déclara-t-il soudain. Je vous donne maintenant une minute pour le faire couler dans votre gorge. S’il n’a pas joui dans… top, une minute, je le laisse faire tout ce qu’il veut de vous. Sans se poser de questions, Kathy laissa aussitôt exploser tout son désir et se jeta sur le membre comme une assoiffée. Elle suça, lécha, avala, titilla sans répit s’étouffant presque tant elle se goinfrait de la queue chaude et vivante dans sa bouche. L’homme faisait tout pour résister à la vague de sensations submergeant son sexe qui s’embrasait. — 30 secondes. Elle était si excitée elle-même qu’elle se surprit un instant à espérer qu’il tiendrait le coup, tant elle aurait aimé sentir à cet instant une queue puissante se déchaîner en elle. — 20 secondes. Sa main s’activa comme une furie pour accompagner sa bouche. Beau-Brun s’agrippait à ses épaules en râlant de plaisir. Elle détacha ses mains et les posa sur ses seins. Aussitôt, il se mit à les malaxer brutalement. — 15 secondes.— Tiens bon. Tu vas pouvoir me baiser, me défoncer comme une chienne à quatre pattes. Elle tentait le tout pour le tout l’inondant de paroles obscènes entrecoupées de jeux de langue. — Je suis sûre ...
... que tu vas adorer mon petit cul. Elle le vit se tendre alors comme un arc et dans une grimace absente, il lâcha prise, explosant dans sa bouche dans de longs jets saccadés. La jeune femme reçut l’offrande avec délectation, s’amusant de la quantité de jus inhabituelle qui continuait de couler sur sa langue à chaque spasme du sexe entre ses lèvres. Elle put en goûter toute la saveur et il lui fallut plusieurs gorgées pour tout avaler. Le cajolant de sa bouche, elle aspira jusqu’à la dernière petite goutte du précieux nectar d’amour alors que le corps se détendait doucement sous sa caresse. — Très bien jeune homme, vous pouvez nous laisser maintenant, déclara enfin le maître des lieux lorsqu’il jugea l’apaisement retrouvé. Beau-Brun se réajusta devant sa bienfaitrice restée à genoux devant lui. Il la gratifia d’une caresse sur la joue et quitta le salon d’un pas mal assuré. Kathy attendit encore, les genoux douloureux, ne sachant ce qu’elle devait faire. — Vous pouvez vous relever, Madame, lui dit-il enfin en lui tendant une main pour l’aider. Elle se releva, cachant avec peine la frustration et la déception qui marquait son visage. — Vous ne pensiez pas que j’allais… ? Il laissa sa phrase en suspens. Elle baissa les yeux, honteuse d’avoir envisagé la possibilité, de l’avoir même ardemment souhaitée. Son sexe coulait d’un désir incandescent et elle se serait donnée sans une seconde d’hésitation. — Vous avez été parfaite ma chère, je n’en attendais pas tant. Votre obéissance est ...