Première vraie rencontre
Datte: 23/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fdanus,
... obscène, les yeux dans les yeux.— Je sais. Pourtant, je vais te faire languir. Vois-tu, c’est l’avantage des vieux croûtons : au contraire des jeunes athlètes, ils savent un peu se retenir… Je m’assis donc et commençai à l’embrasser. Comme pour mes caresses, l’approche fut lente et détournée. Dix fois je m’approchai de son sexe, le frôlai de mes lèvres charnues et dix fois je m’en éloignai. Dix fois elle se déhancha pour augmenter la pression de mes caresses et dix fois je ne fis qu’immiscer le bout de mes doigts dans son fruit juteux à souhait, ou soufflai gentiment dessus pour le « refroidir ». Alors que je sentais qu’elle ne pourrait plus attendre très longtemps, je décidai, contre toutes ses attentes, pensais-je, de préciser mes caresses sur son anus. À peine dardai-je ma langue autour de son petit trou qu’elle commença à gémir. — Oh oui, là, c’est bon. Oui, vas-y, là.— Où ça, là ? demandai-je, un peu sadique, en abandonnant son étoile.— Là, dans mon cul, oui, là, c’est trop bon. Sa main s’était glissée sous son ventre pour se mêler à ma langue. La laissant s’occuper de son sexe, je retournai à son petit trou, aidé par mon pouce. Je posai ce dernier sur l’orifice trempé de salive et de sève et le glissai sans mal à l’intérieur. Ses gémissements augmentèrent d’intensité, elle faisait aller et venir son bassin et sa main fouillait son sexe ; elle s’empalait du même mouvement sur mon pouce, qui rentrait chaque fois un peu ...
... plus dans son cul. — Alors, jeune fille, reconnaissez-vous que vous n’étiez finalement guère exposée, tout à l’heure, par rapport à maintenant ?— Ah ! Cest bon ! C’est trop bon ! Mon doigt allait et venait maintenant avec une telle aisance qu’il me semblait qu’elle pouvait en vouloir un peu plus. Hélas, je n’eus pas le loisir de le vérifier, car un bruit de conversation nous parvint, comme montant l’escalier vers nous. Rapidement, Julie recouvrit ses fesses nues et s’assit normalement, alors que j’allais ouvrir le loquet. Juste le temps de m’asseoir à mon tour dans un fauteuil avec une revue et Martin pénétra dans la pièce. — Alors, les jeunes, on fait bande à part ? Dis donc, Julie… Je cherche le recueil de poèmes que j’avais prêté à ton copain, là, le grand chevelu… Guillaume, je crois. Je voudrais lire un extrait à André et Simone, mais je sais plus s’il me l’a rendu. Très naturelle, Julie répondit que non. — Tu connais André, Michel ? me demanda-t-il, un peu contrarié. Je ne le connaissais pas, mais dus faire sa connaissance. Martin avait-il senti quelque chose ou était-ce le hasard ? Toujours est-il qu’il me fallut descendre et faire la connaissance dudit André, un sexagénaire fort sympathique et intéressant au demeurant. Ma seule consolation était d’avoir conservé le string de Julie dans ma poche. Elle descendit d’ailleurs quelques temps après, me rejoignit, l’air un peu moins à son aise qu’en début de soirée… A suivre…