Première vraie rencontre
Datte: 23/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fdanus,
C’était l’été 2000. Tous les mois d’août, Martin et Aline organisaient une fête autour de leur piscine. Martin était une « connaissance professionnelle » depuis une dizaine d’années. Nous nous étions rencontrés au cours d’un projet un peu complexe chez un client important pour ma société. Il était de quinze ans mon aîné, mais une amitié sincère s’était établie au cours de nos contacts professionnels. J’ai trente-sept ans, mon épouse trente-cinq, et même si les invités de la fête avaient plutôt la cinquantaine, nous prenions toujours plaisir à danser quelques rocks, voire prendre un bain de minuit. Cet été-là, pourtant, le moral n’était pas au beau fixe avec mon épouse et c’est seul que je répondis à l’invitation annuelle de Martin. Martin a deux enfants, Aurélien, trente ans et Julie, vingt-deux. L’aîné avait depuis longtemps quitté le domicile conjugal. Il voyageait de pays étrangers en pays étrangers au gré des contingences « pétrolières » auxquelles son entreprise était soumise. Julie, par contre, était toujours chez papa et maman et semblait s’y trouver fort bien. Contrairement au parcours rectiligne de son frère, qui l’avait conduit sûrement mais un peu tristement à son diplôme d’ingénieur, elle folâtrait. Une première année sabbatique, suivie d’une tentative en Droit, puis en Médecine, puis des petits boulots, pour aboutir dans un IUT d’Action Commerciale. Elle avait un peu voyagé et vivait pleinement ses vingt-deux ans, sous le regard inquiet de sa mère et ...
... bienveillant mais attentif de son père. Sans entrer dans les détails (qu’il ne connaissait sans doute pas), Martin m’avait expliqué qu’elle avait une vie amoureuse très très animée… ce que je traduisais par une vie sexuelle sûrement bien remplie. D’ailleurs cela se sentait assez facilement : Julie était une belle brune à l’aise dans son corps. Elle se savait belle et en profitait pleinement. De plus, elle n’était pas sotte. Si son physique avantageux (surtout au niveau de la poitrine et de la chute de rein) lui venait de sa mère (que j’avais souvent regardé avec envie), elle avait aussi l’intelligence malicieuse qui m’avait plu chez son père. De fait, une certaine complicité s’était établie entre elle et moi, au hasard de nos rares rencontres chez ses parents. Elle me taquinait volontiers sur mon look, mon boulot et je lui renvoyais la balle tout aussi volontiers, l’attaquant sur son physique (qui pourtant était difficilement attaquable) ou ses tenues qui, parfois, étaient vraiment trop… ou plutôt pas assez - vraiment pas assez - « couvrantes ». Je pensais qu’elle me trouvait sympathique et n’imaginais rien de plus. Si ce n’est, lors de certaines séances de plaisir solitaire, dans lesquelles elle avait fait quelques apparitions. Je n’envisageais pas réellement qu’elle puisse ressentir une véritable attirance pour moi. Les hommes sont bêtes souvent ! De toutes façons, nos rencontres se faisant la plupart du temps en compagnie de ma femme, les choses en étaient restées là. Pourtant, ce ...