Week end de sexe. Paméla
Datte: 02/07/2017,
Catégories:
fh,
grosseins,
vacances,
campagne,
fsoumise,
hdomine,
noculotte,
Résumé de l’épisode précédent : Après 8 jours de chasteté dus à la visite de ma mère, j’ai promis à mon mari d’être à lui durant tout un weekend. Sur le chemin du gîte, après qu’il m’eut bien échauffée, nous avons fait une halte torride. Après notre petit détour sur l’autoroute où, sous les yeux stupéfaits de mon époux, je me suis enfilé son levier de vitesse (voir épisode N°1), nous arrivons au gîte que nous avons déniché sur le Net vers une heure du matin. Nous récupérons la clé cachée par l’hôte et nous nous endormons comme des souches dans un petit lit grinçant, emboîtés comme des petites cuillères. Le lendemain matin, dans un demi sommeil, nous nous cherchons, nous nous collons, nous nous frottons, nous nous imbriquons, je sens une main parcourir ma peau, m’effleurer le dos, la hanche, le sein, s’amuser avec mon téton qui pointe. J’ouvre les yeux, ses lèvres rejoignent les miennes, sa langue se fraye un chemin entre mes dents. Je réponds avidement à son baiser. Je me débarrasse du drap, m’empare du pénis de mon cher époux. Comme je m’y attendais, il est prêt à l’emploi, tendu à craquer. — C’est mon abricot épilé qui te fait cet effet ? questionné-je en écartant les jambes.— Je vais d’abord l’admirer, me répond-t-il en plongeant sa tête entre mes cuisses.— Alors ? Ton impression, c’est plus joli ?— Chatte parfaite bien lisse, bien fermée. Je vais la déguster.— Tu piques, c’est horrible !— Tu veux que je me rase ?— S’il te plait.— J’y vais mais tu m’attends. Pas de petit ...
... orgasme solitaire, me prévient-il en me voyant aventurer ma main dans mon entrejambe (l’envie de me gratouiller suite aux piqûres de ses poils de barbe). Je tâte ma foufoune. Mes lèvres épilées me paraissent plus charnues et plus sensibles que d’habitude. Mes doigts glissent dans les replis humides, c’est doux, c’est chaud. Étrange de ne pas sentir de poils à cet endroit. Mon chéri est déjà de retour, sentant bon la mousse à raser. Il recolle sa bouche à ma chatte, il me goutte, il m’explore, il écarte pour rentrer sa langue dans mes profondeurs, son nez me frotte délicatement le capuchon de mon petit bouton. Oh, que j’aime me faire réveiller comme ça ! N’y tenant plus, je relève et j’écarte les jambes au max, j’agrippe ses cheveux pour le presser encore plus fort sur mon minou. — Déguste-moi la foufoune, mon loulou, elle est à toi, ouvre-moi, enfonce ta langue, plus fort, plus loin. Mon mari, s’il est un grand explorateur de puits brûlants, est aussi un virtuose dans l’art de me léchouiller le clitoris. Il connaît aussi mes caresses préférées. Un petit doigt coquin enduit de salive descend entre mes fesses. Je le sens venir jouer avec mon petit trou, agacer le petit anneau jusqu’à finir par le perforer. Son gros pouce, lui, se glisse comme dans du beurre dans mon vagin, les deux doigts se mettent à me pincer rythmiquement la fine membrane qui sépare mes deux orifices. Il s’amuse de me voir me tortiller en couinant, il rentre, sort, affole ma chatte et mes sphincters. Pour ...