1. Week end de sexe. Paméla


    Datte: 02/07/2017, Catégories: fh, grosseins, vacances, campagne, fsoumise, hdomine, noculotte,

    ... de guerre, cils rallongés au mascara, lèvres pulpeuses badigeonnées de rouge carmin et luisantes de gloss, cheveux savamment coiffés en chignon, sourire figé laissant voir des dents alignées au cordeau, croupe parfaitement moulée dans une jupe qui lui arrive à mi cuisses, chemisier trop petit tendu à craquer par son opulente poitrine. Ses deux gros nichons semblent prêts à jaillir à chaque mouvement d’un sous tif à balconnet sûrement bourré d’armatures pour en supporter le poids. Je diagnostique une mangeuse d’homme, une vorace de la pire espèce. Son mari, lui, arbore toujours la même tenue : jean et T-shirt blanc également trop petit pour mettre en valeur sa musculature. M. Propre en personne. Les deux autres couples apparemment se connaissent et discutent entre eux. Nous prenons place dans le canapé resté vide. La conversation s’engage… qu’avez-vous visité ? patati, patata. Paméla est intarissable. — Vous avez visité les sites du débarquement en amoureux ?…comme c’est charmant. Nous, nous sommes allés sur une plage en face de Jersey, le naturiste y est toléré. J’adooooore offrir mon corps au soleil. Voulez-vous que l’on y aille ensemble demain ? Ouhhh là là… ! Péril en la demeure. Je prends les devant pour répondre avant mon cher époux. — Je vous remercie, mais nous avons prévu de visiter le mont Saint-Michel.—Paméla bien que déçue ne se démonte pas et repart à la charge.— À la fin du printemps la nature est magnifique et puis c’est la saison des amours, cela déteint aussi ...
    ... sur nous, vous ne trouvez pas ? ajoute-t-elle en gloussant. J’hallucine, tous charmes dehors, elle a le regard rivé sur Pierre comme si elle voulait le croquer. Elle lui jette des œillades, croise haut ses jambes, minaude, sourit à chacune de ses phrases, elle vampe mon homme comme si je n’existais pas. Si elle croit que je ne m’aperçois pas de son manège. Elle commence à me gonfler. Nous n’en sommes qu’à l’apéro, je ne vais jamais pouvoir tenir tout le dîner. Si j’éclate, cela ne va pas être triste. Paméla la Pulpeuse insiste, devient lourde. — Toute cette sève qui monte dans les tiges, ces fleurs qui ne demandent qu’a s’ouvrir, cela agit sur notre libido, on se sent prêts à toutes les folies, n’est ce pas ? demande-t-elle à Pierre en se tournant vers lui avec un air faussement angélique, ravie de sa phrase qui n’est autre qu’une invitation déguisée à une partie de jambes en l’air. Mon homme lui renvoie un sourire gêné aussitôt interprété comme un signe encourageant par la créature qui décroise les jambes et les écarte légèrement. Punaise, d’où il est, avachi dans le canapé, il plonge……elle lui montre sa petite culotte. Je n’y crois pas. Il faut que je fasse quelque chose. Je m’empare d’une assiette de petits gâteaux apéros, je la tends d’abord poliment à Monsieur Propre assis à côté de moi, puis je m’adresse à la blondasse siliconée avec un grand sourire. Paméla, grosse pétasse, tu aimes les phrases à double sens, écoute celle-là. — Vous aimez les grissinis ? c’est un peu ...
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