Famille Vendue
Datte: 24/11/2017,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur,
... quelque chose d'aussi imposant en elle, eut une dernière pensée pour remercier le ciel d'avoir au moins épargné ce supplice à sa fille si fine et longiligne. Et puisque elle-même avait su accoucher deux fois, il ne lui restait qu'à compter sur la souplesse naturelle de son corps... La vieille lui fit l'aumône de lui permettre de sucer le god pour offrir quelque lubrification préliminaire. Les mouvements de la tète et de la bouche de la française sur le god extérieur se transmirent au god intérieur offrant a la vieille lesbienne un avant-goût des plaisirs à venir. Evelyne s'efforçait de saliver le plus possible pour lubrifier au mieux le latex, ce qui la contraignait à émettre les sons de succion disgracieux... D'un simple signe de tête, la chinoise lui fit savoir que c'était assez. L'esclave française s'allongea sur le dos et s'exposa son intimité en vue de son immolation imminente. La vieille la défonça. Forcée, ouverte, écartant ses cuisses autant qu'elle le pouvait, comme clouée sur ce lit comme un papillon, elle était convaincue que jamais son corps ne retrouverait sa forme initiale après avoir laissé s'introduire en elle un pareil mandrin... Et tout cela pour la simple transmission par le média du double god de vibrations bienfaisantes au sein du sexe de la vieille... « Qu'elle sinistre perversion! » pensa Evelyne, qui dut offrir sa bouche servile à un long et impératif baiser profond. La chose dura une éternité avant que la chinoise, le feu dans les yeux, ne finisse ...
... par se faire jouir au travers de l'accouplement mécanique qui liait les deux femmes. Même repue, la vieille n'en avait pas encore fini avec son jouet d'un soir. Evelyne dut subir l'enlacement de la chinoise qui voulut s'endormir toujours fichée dans son vagin, mais en la prenant par derrière celle fois, les deux femmes couchées en chien de fusil, la vieille dans le dos de l'esclave. Evelyne connut là une longue nuit sans sommeil, son intimité distendue, veillant à ne pas troubler le repos de sa maîtresse, dont elle sentait la respiration régulière sur ses épaules. Au matin, la française dut s'acquitter d'une dernière longue caresse buccale, la tête profondément enfouie dans la moiteur des cuisses de l'ancêtre, réveillant de la langue la sensualité fatiguée de la dominatrice lesbienne avant d'être autorisée à partir et à dormir enfin. Part 7 - Plongée dans l'enfer de l'inceste. Evelyne avait vu juste dès la veille de la vente : Acheter une famille, suppose un ou une propriétaire que le tabou de l'inceste fascine. Dès leur première présentation au maître, elle en eut la sinistre confirmation à l'écoute de ses commentaires sur sa récente acquisition et son insistance malsaine sur « Family » et ces « Nice family... » Qu'il répétait avec une évidente gourmandise. En jour ou l'autre Evelyne savait que l'ignoble moment viendrait... Evelyne redoutait que le maître, malgré tout l'empressement dont elle faisait preuve à son égard, ne finisse par se lasser un peu d'elles et qu'il ne ...