Famille Vendue
Datte: 24/11/2017,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur,
... veuille ranimer son désir par des spectacles ou des machinations « plus corsées »... La première fois eut lieu une nuit qu'Evelyne et Charlene avaient été appelées ensemble pour servir le maître en sa chambre. Allongé sur son lit, il se faisait administrer, comme plusieurs fois déjà dans le passée, une fellation à deux bouches par la fille et la mère. Mais, alors que la fille l'avait en bouche et travaillait le gland d'un mouvement tournant de sa langue, et tandis qu'Evelyne, le nez dans la toison pubienne du vieux, léchait les bourses poilues, le maître se redressa et leur ordonna : « Kiss! Kiss yourself! Play with each other in front me! » [Embrassez-vous! Faites l'amour devant moi!] Les deux femmes, qui comprenaient toutes les deux parfaitement l'anglais, surent instantanément qu'un nouvel instant de vérité était arrivé. Se redressant lentement, elles se regardèrent l'une l'autre, désemparées, perdues. Il n'y avait pas d'alternative. Il fallait obéir. Mais Charlene vit dans les yeux de sa mère que celle-ci ne pouvait pas, que ce qu'on exigeait d'elle était au-delà de la force de sa volonté. C'est alors la fille qui prit les choses en main et qui guida sa mère à la dérive. C'est elle qui approcha ses lèvres de celles de sa mère, qui joignit leurs deux corps en un baiser d'abord très doux, puis de plus en plus sexuellement chargé. Elle l'enlaça, mimant d'abord les caresses avant de rendre ses gestes plus précis et plus appuyés, glissant ses mains vers les lourds seins ...
... maternels et leurs tétines qu'elle sut tendrement faire durcir, puis enfin vers l'entrejambe humide. Evelyne perdue se laissait dominer et conduire. L'habileté de sa fille la surprit. L'excitation de ses lèvres par la fine langue agile puis la simulation de ses glandes mammaires provoquèrent en elle une montée d'excitation sexuelle, d'autant plus qu'étant inconsciemment si certaine, et depuis si longtemps, qu'une telle aventure incestueuse était inscrite dans leur futur, cela avait en quelque sorte constitué une préparation psychologique qui avait réduit en elle l'horreur instinctive associée à un tel événement. Charlene restait avec John la dernière personne avec qui existaient des relations basées sur la tendresse, le respect et l'amour. Charlene qui l'enlaçait était la dernière personne qui ne lui voulait pas de mal. Lorsque les fins doigts de sa fille se posèrent sur son clitoris proéminent et hypersensible, ce fut comme si une digue se rompait dans le cœur de cette femme qui avait assumée tant de choses si lourdes et depuis tant de semaines... Elle se mit à rendre ses caresses à sa fille, par la bouche d'abord, puis avec ses mains, caressant le corps magnifique de son enfant, de la chair de sa chair. En elle vivait désormais une envie irrésistible de donner du plaisir, de faire le bien, de faire jouir encore et encore ce corps ami et précieux et d'épuiser dans une extase sexuelle leur amour mutuel. Les deux femmes se faisaient maintenant furieusement l'amour, se donnant ...