Famille Vendue
Datte: 24/11/2017,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur,
... absolument l'une à l'autre et ignorant totalement le regard voyeur que leur maître posait sur elles. Celui, redressé sur le lit, mangeait des yeux le spectacle de ces deux créatures somptueuses emportées par un ouragan de passion sexuelle. Il en conçut une excitation incroyable et développa une érection formidable qu'il n'avait nul besoin d'encourager par une quelconque masturbation. Evelyne et Charlene s'étaient mises en position de « 69 », Charlene en dessous, et, les cuisses largement ouvertes l'une à l'autre, ne vivaient plus que dans la fièvre de se faire jouir réciproquement. Son clitoris boursouflé faisait de la mère une proie plus facile et elle parvint avant sa fille à un premier et puissant orgasme, redressant sa tête pour gueuler sans retenue son bonheur animal, ses lèvres luisant des secrétions intimes de sa fille. Provisoirement assouvie, elle replongea la tête entre les cuisses ouvertes et entreprit de plus belle d'amener à son tour Charlene à l'orgasme. Celle-ci sentit sa mère pourchasser furieusement de la langue son bouton d'amour pendant que les doigts maternels introduis dans son fondement lui procuraient une excitation délicieuse. Son ventre musclé eut une série de contractions de plus en plus puissantes et incontrôlables jusqu'à ce qu'elle expulse de son vagin jusque dans la bouche d'Evelyne une large quantité de liquide intime et qu'un orgasme monstrueux la submerge et l'emporte. Elle aussi hurla à son tour son plaisir à s'en casser la voix... Le maître, ...
... transporté de désir, vint alors se placer derrière Evelyne, ses cuisses poilues venant surplomber le visage de Charlene. Il introduisit son membre infiniment dur dans le vagin gluant de la mère et ordonna parallèlement à la fille : « Lick my balls, you whore! » [Lèche moi les boules, toi la salope!] Le propriétaire reprenait ses droits. La jeune femme obéît docilement et commença à faire tourner sa langue agile autour des testicules du chinois. Celui-ci, ayant empoigné Evelyne par les hanches, la baisait de grands coups de reins. Son intimité défoncée et le contact régulier des testicules de l'asiatique contre son clitoris gorgé de sang conduisirent l'esclave française à un deuxième orgasme, aussi puissant que le premier. Simultanément son maître jouit lui aussi, le sexe massé par les contractions internes du vagin de l'esclave jouissante, et il vida comme jamais à l'intérieur de son somptueux jouet vivant. Le foutre excédentaire coulant comme l'eau à la fontaine à l'extérieur du vagin maternel, Charlene eut à le recueillir dans sa bouche et elle l'absorba en elle. Vidées de leurs forces, les deux femmes en sueur gisaient l'une sur l'autre. Avec le peu de lucidité qui restait dans son cerveau épuisé, Evelyne savait qu'« ils » avaient gagné : ils lui avaient fait, ainsi qu'à sa fille, franchir un cap d'au-delà duquel personne ne revient jamais. Ils avaient perverti son esprit ainsi que celui de Charlene, brisant leurs barrières morales les plus sacrées et avaient fait d'elles ...