Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (13) : les cousins
Datte: 24/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... énormes verges et 4 grosses couilles s'agitaient énergiquement dans mes fondements. Comme les cousins étaient partageurs, ils changèrent de place et me retournèrent encore une fois pour me prendre chacun leur tour, soit en simplette ou en doublette. Ils me finirent par un trio dont je me souviendrai longtemps. Quelle magnifique sensation, d’avoir les deux orifices occupés par deux magnifiques zobs et tout le plaisir que la double pénétration m’apportaient. Ali et Ahmed, pourtant inexpérimentés, s’accordaient, comme s’ils avaient fait cela toute leur vie, sur un rythme rapide et soutenu : ils me pénétraient ensemble et je sentais les deux engins se croiser à travers les membranes vaginale et annale ; ils ressortaient ensemble, à quelques centimètres de mes deux ouvertures. Et ils repartaient de plus belle, en poussant chacun des ahanements de bûcherons. Rachid n’en perdait pas une miette, filmant pour Philippe : • Tu es vraiment une catin Olga. Tu aimes ça, cocufier ton mari ? • Oui, Rachid, j’adore ça. Offre-moi à tous ceux qui auront envie de me baiser ! Chacun de mes amants me tirait en force, comme si je n’étais rien d’autre qu’une poupée désarticulée. Mais une poupée heureuse d’être soumise au bon vouloir de mes amants. J’aimais la saillie d’Ahmed ! Et j’aimais être empalée sur le manche d’Ali ! Une double pénétration, donc, une double jouissance ! Un double plaisir ! Je ne sais pas si les plaisirs peuvent s’additionner, mais je peux témoigner que cette double ...
... pénétration par des magnifiques zobs, m’apportait un maximum de plaisir ! Le ahanements de mes hommes se transformèrent au bout d’un temps en des cris rauques de plaisir (des cris qui se ressemblaient tellement, que je ne savais pas à qui ils appartenaient), puis leur respiration prit un rythme de plus en plus rapide, avant de s’arrêter. Ce fut Ali, qui le premier cria qu’il allait éjaculer, suivi immédiatement par Ahmed qui poussa un long râle de mourant, puis par moi qui me mit à pousser des cris incompréhensibles : - Oui ! Oui ! Oui ! Jouir ! Jouir ! Jouiiiir ! Videz-vous en moi. Je veux être remplie ! Quand mes deux amants arrêtèrent leurs va-et-vient dans mes tunnels, nous restâmes longtemps dans la position que nous tenions : moi, affalée sur la poitrine d’Ahmed, la chatte encore empalée sur son manche, qui commençait à mollir, mais dont je sentais encore la force; Ali affalé sur mon dos, le sexe enfoncé dans mon cul et qui avait encore gardé de la vigueur. Je sentais qu’Ahmed commençait à fatiguer et le fis comprendre à Ali, qui se retira de mon anus. Je relevais les hanches pour faire sortir Ahmed de ma chatte et allai m’assoir sur le sofa, à côté de Rachid. Je me précipitais dans ses bras et l’embrassais amoureusement. • Ca t’a plu ? • Beaucoup, je suis fier de toi, ma chérie. Mais ce n’est pas fini, tu n’en n’as pas assez et eux non plus, je le sais. Ali vint me présenter son zob encore debout et luisant de sperme, mélangé aux sécrétions de mon cul et me fit comprendre qu’il ...