Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (13) : les cousins
Datte: 24/11/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... vint, comme l’avait fait auparavant Ali, me présenter sa queue pour que je la nettoie. Je le fis volontiers en regardant Rachid dans les yeux. Il était vraiment heureux et fier de moi ! De temps en temps, j’essayais de relever la tête pour regarder Ahmed dans les yeux. Il tenait ma tête entre ses mains et quand il voulait lui aussi me regarder dans les yeux, il m’attrapait sous le menton et me faisait relever la tête, tout en maintenant sa bite à l’intérieur de ma bouche. Je voyais alors que lui aussi était au paradis. J’étais brisée par le plaisir, mais ces hommes jeunes n’en avaient pas assez. Je dus les sucer pour leur redonner de la vigueur, avant qu’à tour de rôle, ils viennent à nouveau m’honorer. Ils prenaient tout leur temps, soucieux d’en profiter jusqu’au bout du jour, comme convenu. Ils ne me ne se contentaient plus de se baiser, l’un me faisait l’amour, pendant que les deux autres mataient et me couvraient d’injures. Rachid était excité mais aussi furieux d’entendre les mots tendres que j’échangeais avec mon amant du moment. Au départ d’Ahmed et d’Ali, je restais dans le lit, brisée par le plaisir, couverte de sperme qui coulait aussi de mes orifices. Ce fut ce jour–là aussi que, pour la première fois, Rachid se montra brutal avec moi. Il m’asséna une forte gifle • Dis-donc, petite putain, tu es à moi et seulement à moi. Je suis le seul à qui tu as droit de ...
... dire que tu l’aimes. La seule exception que j’accepte c’est Philippe, sans lui je ne t’aurais pas connue. Tu as compris, diablesse ? • Mais mon chéri, c’est dans le feu de l’action. Ils m’ont baisée tellement bien. Je voulais que ça ne s’arrête jamais. Philippe arriva à ce moment. Ses yeux étaient exorbités de désir et d’excitation. Il se précipita vers moi et m’embrassant longuement. • Vous auriez pu faire ça quand j’étais là ! • Il faut bien que je l’occupe en journée. Ne t’inquiète pas, je pense à toi prochainement. • Tu as bien joui mon amour ? Tu es encore plus belle quand tu es comme ça, brisée par la vague du plaisir. • Tu es couverte de sperme, ta chatte et ton anus sont pleins. Je vais bien te nettoyer mon amour et ensuite Rachid te fera l’amour. Ils étaient combien aujourd’hui ? • Deux, mes cousins Ali et Ahmed, mais ils ont assumé ! Je suis fier d’eux. Mais si tu veux mon avis, cela ne suffit pas à Olga. Il lui en faut plus, beaucoup plus. Elle n’a plus de limites ! • Tu as raison Rachid, tu as ouvert les portes du plaisir. J’en veux encore et encore ! Ce soir-là, Rachid demanda à Philippe de me fister et de me cravacher, puis il me baisa sauvagement. Je me rendais compte que j’étais dans une spirale que je ne contrôlais pas et que Philippe ne contrôlait pas, mais je n’avais pas envie que cela s’arrête, au contraire ! (A suivre, partouze chez Pierre et Christine)