L'arrivée de Clémence
Datte: 25/11/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
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fgode,
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init,
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totalsexe,
initfh,
bourge,
... Du bout de mon visage, je frottais son bas-ventre en faisant non de la tête comme pour me libérer de cette « emprise » que je prenais tant de soin à lui décrire. — Mais, arrêtez, Jean-Baptiste, ma pauvre mère pourrait nous… ohhh… nous entendre, arrêtez, je vous en conj…— Clémence, ne me condamnez pas, je plaide la folie, vous m’avez ensorcelé, je ne me contrôle plus !— Mais… ohhhh, arrêtez, votre visage, non, ne me… Mmmmmm, c’est mal vous le savez… Je pétrissais maintenant ses fesses de mes mains à travers sa jupe et enfouissais mon nez entre ses cuisses toujours serrées. À travers le tissu de sa jupe, je parlais directement à sa chatte. — Oh Clémence, où voyez-vous du mal ? je suis votre esclave, comment pourrais-je vous faire du mal, moi qui ne veux que votre bonheur, moi qui ne cherche que votre plaisir…— Mon Dieu, mais que faites-vous (je venais de passer ma tête sous sa jupe), OH ! Non, votre bouche, pas Ahhhh… MPPFFFF Oh oui, arrêtez tout de suite, Jean-Baptiste, je vous interdis, ça n’est pas… Oh oui, encooOORRE ! Mon Dieu, qu’est-ce qui m’arrive ? Je venais de baisser sa culotte sur ses chevilles d’un coup sec, ma langue fouillait maintenant sa petite chatte, aspirant son clitoris tandis que mes mains lui écartaient les fesses. — Clémence, mon Dieu, comme votre chatte est chaude et trempée ?— Oh oui, léchez-moi bien là, je ne… Ohhhhh, oui ! ouiii ! oui ! oui ! encore, làààà… OUUUHHHHH mon Dieu, quel délice, Jean-Baptiste, vous léchez si bien ! Où avez-vous appris ...
... ça ? Oh n’arrêtez pas, c’est mal… oh non, continuez, c’est bon, MMMMPPPPPPPFF ! Ah ! Oui ! Encore ! Encore ! Petit vicieux, lèche-moi bien ! Je lui tétais le clitoris, puis je la pénétrais de ma langue en donnant de petits coups de tête. Clémence s’était hissée maintenant au lavabo et levait une jambe pour me faciliter la tâche. À genoux sous sa chatte, je lui caressais la fente avec ardeur, laissant ma langue s’attarder par moment sur son petit trou plissé. Je la laissai au bord de la jouissance et prétextai avoir entendu un bruit. M’emparant de sa culotte discrètement, je lui indiquai l’étage où j’habitais avant de l’embrasser et disparus furtivement, la laissant pantelante imaginer elle-même une excuse plausible à donner à l’auteur du bruit imaginaire pour son air défait et le feu sur ses joues. Je me retenais de me branler, du moins je m’arrêtais avant de jouir, frottant sa culotte sous mes bourses, sur mon gland prêt à exploser, sur toute la longueur de ma queue. À vingt-deux heures, on gratta à ma porte. Clémence était là, en chemise de nuit, une lampe de poche éteinte à la main sur le seuil de ma chambre. Je l’observais un instant à travers le judas, me demandant par quel morceau commencer. Quand j’ouvris, elle se jeta sur moi et avant que je puisse parler m’enfonça voracement sa langue dans sa bouche. Je reculai avec elle jusqu’à ce que nous basculions sur mon lit. Comme possédée, toujours au-dessus de moi, elle avança à genoux en levant sa chemise de nuit et vint ...