1. L'arrivée de Clémence


    Datte: 25/11/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, voisins, nympho, cinéma, collection, fsoumise, hdomine, chantage, intermast, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, jouet, jeu, init, portrait, totalsexe, initfh, bourge,

    ... une orangeade à tout le monde et fis un détour par la salle de bains avant de me rendre à la cuisine. Je pris deux comprimés de laxatifs et les broyai finement avant de les verser dans le verre d’Anne-Claire. Cette solution était résolument extrême mais avait le mérite de m’assurer les quelques jours de tranquillité nécessaire à la poursuite de ma conquête du cul de sa fille. Le résultat fut étonnant : la sinistre belle-sœur d’Hélène fut clouée entre le lit et les toilettes pendant les quatre jours qui suivirent, et il lui en fallut une semaine de plus pour pouvoir sortir normalement. Mettant le « désordre » de son organisme sur le compte de l’air vicié de la capitale, elle fut donc contrainte d’abandonner la surveillance continuelle de sa fille et je fus le premier à en profiter. Où Jean-Baptiste poursuit sa conquête avec ardeur et fait découvrir à la douce Clémence qu’on peut s’amuser sans être entravés par les liens sacrés du mariage. Dès le soir je repassais à l’attaque. Prétextant l’oubli de mon carton à dessins, que j’avais effectivement pris soin de laisser tomber derrière le canapé des C., je partis trouver Camille pour qu’elle me prête les clefs de l’appartement de ses parents. Quand je lui appris le but de cette visite, elle me paria que je n’arriverais pas à arriver à mes fins, prétendant connaître les « filles comme Clémence » dont il n’y avait rien à « tirer ». Pour intéresser l’enjeu, nous pariâmes pour elle un cunnilingus par jour pendant une semaine entière, ...
    ... à l’heure et l’endroit qui lui conviendrait, et pour moi une sodomie et une branlette entre ses seins. Camille était dure en affaires, comme vous le voyez, mais j’étais très motivé et sûr de ma réussite. Une fois chez les C., j’appelais Hélène, que je savais absente à cette heure (elle visitait une vieille tante malade boulevard Malesherbes, à qui elle amenait quelques courses et des nouvelles de la famille C.). Devant l’absence de réponse, je pénétrai dans l’appartement en quête de la jolie silhouette de Clémence qui n’était pas dans l’une des chambres d’amis mise à sa disposition. Silencieusement, je me faufilai dans chaque pièce et la trouvais dans la salle de bains, en train de coiffer ses cheveux lâchés, le regard absent. Je me glissai dans son dos et lui mis la main sur la bouche pour étouffer son cri. — Jean-Baptiste, mais que faites-vous ici, je ne vous ai pas entendu entrer, qui vous a ouv… ?— Je me suis procuré les clefs, je voulais vous voir.— Je ne…— Je voulais juste vous voir, imprimer votre silhouette gracieuse dans mon esprit, sans quoi, je sais que je ne pourrais pas dormir ce soir.— Ce que vous m’avez… au cinéma tout à l’heure, il ne fut jamais quest… Je me jetai à ses genoux et l’attirai contre moi en écrasant ma tête juste sous sa petite chatte rasée. — Oh Clémence, pitié, ne me repoussez pas, je sais que je n’aurais pas dû, mais j’étais comme possédé, vous me possédez corps et âme, vos cheveux, vos mains, votre long cou, vos adorables dents blanches, vos… ...
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