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Les animaux de Priape (3)
Datte: 02/07/2017, Catégories: Zoophilie,
Pour la troisième séance, il y eut du changements. D’abord, les transformations physiques intervenues sur ma femme étaient une réalité et avaient commencé à me convaincre que tout n’était pas supercherie. Ensuite, et peut-être surtout, je m’étais laissé exciter par ces séances de baise hors du commun. Enfin, on rompit avec le cérémonial précédent. Certes, nous nous étions déshabillés comme les fois précédentes, mais cette fois je n’avais pas été obligé de grimper sur cette chaise très haute d’où je dominais la scène. Cette fois, on m’avait passé un collier autour du cou et des menottes et j’étais enchaîné au mur. J’avais assez de latitude cependant pour me déplacer assez loin mais j’étais privé de la capacité d’intervenir. Les deux mecs arrivèrent complètement nus. Aldéric tenait en laisse deux chiens, mais là tout ce qu’il y avait de plus ordinaires. Ils étaient déjà tendus rouge et savaient parfaitement ce que l’on attendait d’eux. C’étaient, à ce que je pus en juger deux sortes de doberman ou un croisement de cette race avec une autre aussi grande. "Mettez-vous à quatre pattes". Clara trouva immédiatement la bonne position et le premier chien trouva également le bon chemin. Il n’y eut pas de préliminaires. La saillie fut immédiate. De la main, Aldéric, dut guider la pine à l’entrée du vagin et elle s’enfila alors d’un seul élan, sans résistance, à croire que l’excitation de ma femme lui avait déjà préparé le terrain. "Approchez-vous et regardez". Je fis ce que l’on me ...
... demandai. "Glissez-vous sous votre femme". Ce fut l’affaire d’un instant. Ainsi je pus voir tout le processus de la pénétration canine. La chatte était bien pleine et dégoulinait légèrement d’un liquide plus opaque que la mouille. Le chien commençait déjà à éjaculer. La base de sa verge enflait rapidement. Alors il poussa plus fort et le tout glissa entre les deux lèvres où il atteignit sa taille maximale. Ainsi verrouillé, le chien se libéra et jouit déchainant une cascade de cris et de gémissements de la salope qui se régalait. Quelque minutes après avoir éjaculé, la bite du chien dégonfla et il se retira. Un flot se foutre m’inonda le visage. Le chien aussitôt dégusta son propre sperme qui lentement se déversait le long des cuisses. Il bavait diluant sa lourde semence et ce mélange pleuvait sur mon visage. Je dus fermer les yeux et les essuyer à plusieurs reprises avant de les rouvrir. Je n’eus pas le loisir de changer de place que déjà le deuxième chien s’approchait. Cette fois, je le guidai moi même vers le trou, empoignant avec précaution son vit lisse et dur comme le roc. La nouvelle saillie fut aussi vigoureuse que la première. Ainsi positionnés en 69, ma femme n’avait qu’un petit mouvement à faire pour me sucer. Elle y fut vivement invitée. Au dessus de ma tête, le chien se déchainait. Ses grosse burnes volaient comme une balançoire et me frôlaient le front. L’air embaumait d’une puissance odeur de rut. J’étais fasciné par la masse rouge qui écartait si fortement les ...