1. Les animaux de Priape (3)


    Datte: 02/07/2017, Catégories: Zoophilie,

    ... faut mais il me parut qu’elle devait en avoir au moins 25 cm et je me demandai si la chatte pouvait être souple à ce point. Les saillies se succédèrent. La bassine remplie de foutre était régulièrement vidée dans une sorte de baignoire plus basse qui se remplissait peu à peu. Enfin, l’autel fut placé plus bas de façon à ce que ma femme pût se glisser sous le ventre des animaux qui défilèrent, bites empesées, droites, énormes, entre les nichons. Ainsi, elles les masturbait entre les mamelles. Suivant la taille du membre, les couilles reposaient sur le pubis ou les cuisses et s’y promenaient insensiblement. Les glands explosaient les uns après les autres entre les seins ou sous le menton. Les flots de jus recouvraient le corps, inondaient le visage, s’écoulaient des deux côtés vers les bassines. Elle s’essuyait les yeux et reprenait. Quand ses mains furent fatiguées de maintenir les globes couverts de semence autour des vits qui se succédaient, je dus branler moi-même les chevaux. Enfin, les équidés se retirèrent. Ma femme était recouverte d’une épaisse couche blanche qui continuait à dégouter. Les cheveux en était plein. Les acolytes toujours à poil firent alors entrer un énorme taureau blanc. La bête, placide, avançait mollement et me fit penser à cet animal que les matrones à Rome allaient toucher pour devenir fécondes. La bête se mit en position avec difficulté. Il fallut que ses membres antérieurs s’appuyassent sur le portique soulevant l’énorme poitrail avec peine. Alors ...
    ... la bite commença à s’allonger. Je protestai, je suppliai les gars de s’arrêter là. Aucun être humain ne pouvait supporter un engin pareil. Ce sexe était dessiné comme celui d’un homme, le gland très dessiné, mais la queue faisait plus d’un mètre de long et un diamètre plus gros que ma cuisse. "Vous êtes fous ! Ça ne peut pas rentrer ! Laissez-là, vous allez la tuer ! Arrêtez, arrêtez tout de suite, vous m’entendez"! Je me débattais dans mes chaînes. Aldéric s’approcha de moi: "Ne crains rien. N’as-tu pas vu qu’elle a pu être introduite par les chevaux sans dommage ? Priape donne à ses servantes la souplesse voulue pour absorber tous les membres qu’il veut". Et ce fut vrai. Je vis l’énorme gland se poser sur les lèvres et la fente s’élargir pour le laisser entre. Le corps de ma femme ondula comme un serpent. Il me sembla même qu’elle s’étira et la verge entra en entier jusqu’au couilles qui avaient chacune la taille d’un ballon. Il était impossible que les organes et que la colonne vertébrale ne fussent pas broyées par ce qu’il se passait. La pénétration ne dura que quelques minutes et l’animal ne bougea pas d’un pouce. Ma femme, également immobile gémissait timidement de plaisir. Le gros vit se retira, et le corps se vida de litres de liquide tel qu’on aurait dit du lait. Il y eut un court instant ou la pine de l’animal oscilla de bas en haut, se bloqua enfin en hauteur et le gland, violacé, doubla presque de volume, libérant un jet tellement puissant que la table en recula. ...