1. Une soirée sensorielle imprévue


    Datte: 25/11/2017, Catégories: fhh, grp, couplus, extraoffre, fépilée, fsoumise, double, fdanus, Partouze / Groupe attache, yeuxbandés, init, journal,

    Un samedi comme les autres… Phil m’a demandé de bloquer cette soirée sans autre information. Il m’a abandonnée en cette fin d’après-midi sans enfant, prétextant un devoir parental quelconque… Je somnole sur le canapé, vaguement distraite par un film catastrophe de seconde zone. Soudain, la sonnerie de mon portable m’annonce un nouveau message. J’y découvre un texto de Phil : Après un léger temps de surprise, je me sens particulièrement curieuse et émoustillée par cet ordre sibyllin. Je commence par partir à la recherche de vêtements coquins. Rapidement, je rassemble une jolie paire d’escarpins noirs, des bas autoportants et un splendide bustier. Il me faut un peu plus de temps pour choisir un string noir. Après quelques essais, je m’arrête sur un morceau de tissu minimaliste qui met particulièrement mes fesses en évidence. Après une rapide douche, je passe à la séance rasage. Je laisse glisser la lame sur mon pubis pendant de longues minutes. Le résultat est impressionnant : mes lèvres et mon mont de Vénus sont d’une douceur rarement égalée. Je m’installe, nue, devant le miroir et me lance dans un maquillage nettement plus provoquant que d’habitude. Je ne lésine pas sur le rouge à lèvres et le contour des yeux. Le résultat est surprenant. Si je me sens un peu vulgaire, je m’apprécie en femme dévergondée. Il ne me reste plus qu’à enfiler mon « uniforme ». Pendant ma séance d’habillage, je me remémore notre séance à trois… Il y a combien de temps encore ? Trois ans, déjà ! ...
    ... Même si j’avais eu un goût de trop peu, j’avais vraiment savouré cet abandon de mon corps à deux hommes. L’incognito de mon deuxième amant avait renforcé l’excitation de mes sens. Je m’observe une dernière fois dans la glace. Pas mal ! Je m’aime bien ce soir… La porte d’entrée s’ouvre. Phil est là, vêtu sobrement d’un pantalon noir et d’une chemise blanche. Où s’est-il préparé ? Je regarde ma montre. Il est déjà 21 heures. Phil me tend mon imperméable noir et, après un baiser très tendre, il m’enjoint de m’asseoir dans la voiture. Il fait sombre. La voiture glisse sur les routes pendant un long moment. Nous ne parlons pas. Seule la main de Phil posée sur le haut de ma cuisse, là où le bas s’arrête, me rappelle que la soirée s’annonce coquine. Ses doigts vont et viennent sur ma peau, se rapprochent de mon string puis s’en éloignent. Je frissonne… La voiture s’arrête. J’en descends puis réajuste mon imperméable. Nous marchons quelques instants. La température est douce mais je sens le courant d’air s’insinuer à travers les innombrables interstices de mes vêtements. C’est très sensuel mais peu confortable. J’ai l’impression que chaque personne croisée devine que je suis pratiquement nue. Nous nous arrêtons devant une porte massive de couleur sombre. Phil annonce notre venue au parlophone. Quelques instants plus tard, la porte s’ouvre. Un colosse chauve élégamment vêtu nous introduit dans un grand hall cossu. Rapidement, il nous dirige vers un vestiaire spacieux. Phil m’aide à ...
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