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Une soirée sensorielle imprévue
Datte: 25/11/2017, Catégories: fhh, grp, couplus, extraoffre, fépilée, fsoumise, double, fdanus, Partouze / Groupe attache, yeuxbandés, init, journal,
... ralentissent avant de s’arrêter. Je sens un second sexe se présenter à l’entrée de mon fondement. J’ai un petit moment de panique. Je m’entends murmurer : « Soyez doux ! » Très, très lentement, le sexe glisse dans mon fourreau étroit. Mon premier envahisseur reste immobile. Sa bouche et ses mains me rassurent par leurs cajoleries. Les autres doigts et lèvres qui me parcourent me font presque oublier que je suis en train de me faire prendre par mes deux orifices. Ça y est mon second conquérant est au fond de moi ! Son pubis écrase mes fesses. C’est incroyable ! Je ne sens aucune douleur. Mes deux amants commencent à coulisser en rythme. Le plaisir est indescriptible. Je fonds littéralement. Pour couronner le tout, une main s’est insinuée entre mon ventre et celui de mon vis-à-vis. Deux doigts me titillent le clitoris. Je devine des doigts de femme. Ils me comprennent beaucoup trop bien. Je ne peux plus résister. Ma jouissance monte de tous les côtés : mes orifices, mes seins, ma bouche, mon dos, mes fesses. Je jouis de partout. Moi d’habitude si réservée, je m’entends crier de plaisir. Un plaisir long, violent, presque douloureux car trop intense. Il dure, il dure, il ...
... dure. Sans mes menottes, je me serais écroulée au sol. Je devine plus que je ne sens qu’on me détache, qu’on me porte. Quand je reviens clairement à moi, je suis étendue sur une banquette dans le vestiaire spacieux du club libertin. Phil a enlevé mon masque. Il est souriant et me caresse le visage. Mon corps est toujours nu mais il est couvert d’une jolie couverture fine. Phil est habillé comme à notre arrivée. S’est-il déjà revêtu ? A-t-il été un simple spectateur ? Je commence à le questionner. Il me pose un doigt sur la bouche puis m’embrasse sensuellement. Phil me serre dans ses bras. Après une longue étreinte, il m’aide à me relever et m’habille calmement de mon imperméable noir. Il rassemble mon string et mon bustier, les glisse sous le bras puis m’aide à me diriger vers la porte de sortie. Il n’a pas prononcé un mot. Nous traversons les rues silencieuses et sombres. Je suis encore plus nue qu’à l’aller mais je ne m’inquiète absolument pas. Je suis toujours dans un état second. Nous rejoignons rapidement la voiture. Une multitude de délicieux picotements me rappellent que je viens de vivre des heures de totale débauche. Je m’endors pendant le trajet du retour.