1. Addicte (5)


    Datte: 25/11/2017, Catégories: Lesbienne

    ... la vue de l’autre, offert dans tout ce qu’il avait de plus impudique. Je remplis sa bouche d’une gorgée de vodka. Nos langues se retrouvèrent dans le liquide qui s’évada de nouveau entre ses lèvres charnues. Je léchai le résultat sur son menton, dans son cou, entre ses seins que j’empoignai au passage, jusqu’au nombril que je pénétrai de la langue. Tendue, ma belle poussa son ventre en avant. Pourtant, je ne répondis pas à sa supplique. Puis ma bouche suivit le chemin inverse. Je remontai lentement de long de ce corps vibrant ardemment désiré. Je pris ses lèvres dans un nouveau baiser passionné. Sandrine empoigna mes fesses pour mieux nous souder l’une à l’autre. Un second slow nous rapprocha du lit. Ma cuisse gauche se faufila entre ses jambes, se frotta à ce sexe que j’allais toucher, caresser, embrasser. Sa langue dans ma bouche, elle laissa ses pétales s’ouvrir, un peu de mouille se déposa sur ma peau. Sandrine prit ma bouche en distillant les premiers effleurements à l’intérieur de mes bras, sur mon cou, mes flancs, sans se précipiter sur les zones sensibles. Elle voulait se montrer à la hauteur sans y parvenir, rien de plus logique. Je lui abandonnai volontiers l’initiative afin de ne pas la brusquer. Mes mains sur ses formes trahissaient l’impatience. Malgré les efforts pour l’imiter, pour doser la provocation, je cédais toujours en prenant un sein dans une main, l’autre glissée dans le sillon chaud séparant ses fesses rondes. Alors son ventre se contractait contre le ...
    ... mien, on remonta nos cuisses pour qu’elles participent à la fête. Sans trop s’attarder aux préliminaires cette fois, Sandrine me plaqua contre le lit, une main à plat sur ma gorge, le regard brûlant accroché au mien. Elle se pencha lentement jusqu’à glisser la langue dans mon oreille. – Tu la veux dans la chatte ? La vulgarité de la proposition m’interpella, semblable à de l’autosuggestion, comme si elle voulait se persuader d’en avoir le cran. Ma poitrine se souleva pour toute réponse. Elle glissa sur mon corps à reculons sans me quitter des yeux, peut-être allait-elle oser. Sa bouche s’attarda à peine sur mes seins, pas assez à mon goût, le temps de suçoter les pointes tendues, de les faire durcir encore. Une main s’aventura déjà dans ma touffe, l’autre lui servant d’appui, elle continua sa progression jusqu’à descendre du lit. Reprenant ses gestes lents, elle attira mon bassin au bord de la couche, mes pieds au sol. Dans un réflexe, j’attrapai les oreillers pour les glisser sous ma nuque, désireuse d’ajouter au plaisir de recevoir celui de l’observer. Agenouillée à même le parquet entre mes cuisses ouvertes, Sandrine comprima mon pubis d’une savante pression en ouvrant mes chairs de son autre main. Ce geste révélait une pratique certaine de la masturbation féminine. Depuis combien de temps se branlait-elle sur le fantasme d’une étreinte lesbienne ? L’idée d’être sa première expérience fit encore monter mon excitation. Elle se concentra sur mon intimité à l’exploration de ...
«12...6789»