1. Essaouira 2


    Datte: 26/11/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... légère douleur était vite compensée par un sentiment de relaxation extrême. Puis il massa mes flancs, les remontant vers le dos . Je sentis couler sur mes fesses le doux parfum, puis, successivement elles furent pétries comme pâte à pain. Quelquefois, il les écartait et faisait couler l'huile sur ma rondelle. Lorsqu'il entrepris mon entre cuisse, jusque sous les couilles, mon sexe durcit, et le léger soulèvement de mes fesses pour qu'il se plaque sans douleur contre mon ventre, n'a pas du lui échapper. Je planais littéralement de bien-être, abandonné à ses mains et le long massage des pieds et des orteils fut un moment extatique. Je résistais un peu, gêné de lui montrer mon érection, bien qu'à y réfléchir, ça devait plutôt lui faire plaisir. Il fit pivoter mon corps sur le dos et je ne pensais qu'à une chose ma queue tendue qui oscillait devant mon ventre. Il reprit le massage par les chevilles et monta lentement jusqu'au genoux, les prenant de toute sa main puissante et le bout de ses doigts caressant la peau peau fine du creux poplité, juste derrière. Lorsqu'il a remonté ses mains huilées sur mes cuisses, je ne pouvais plus réfléchir, bientôt il atteindrait la peau si fine et sensible de l'aine, celle des bourses, et ma queue entrera en vibration. Je crois que j'aurais pu jouir sans même être touché sur le sexe, mais il remonta encore, sur les flancs, l'abdomen et le sensible « toulic » (nombril) comme on dit en Bretagne. Je sentais le bout de ses doigts approcher mes ...
    ... tétons, et je les sentais eux aussi déjà durcis et érigé avant même qu'il les atteigne. Les yeux fermés, le corps arc-bouté j'attendais qu'il les saisisse mais je ne sentis que la chaleur de ses paumes se déplaçant lentement au dessus à presque les effleurer, je m'en souviens à peine mais un long gémissement de désir à du m'échapper. Il est resté ainsi plusieurs minutes, ses mains mobile, en lévitation au dessus de mes bouts dressés et s'était, sans le moindre contact, un crescendo insensé de mon désir. Puis ses doigts se reposèrent sur mes clavicules et enserrant mon cou offert, qu'il serrait rythmiquement, de son pouce il parcourait mon menton, le maxillaire inférieur.... enfin dans sa main il me semblait être devenu entièrement un gigantesque corps érogène où magiquement le bout de ses doigts, où qu'ils se posent opérait une transmutation alchimique de ma peau et de mes sens. Lorsque sa langue vint lécher le lobe de mes oreilles, en caresser le conduit, tandis que ses mains massaient suavement mon cuir chevelu, je ne contrôlais plus mes gémissement. Il s'arrêta et me laissa ainsi, incertain, quelque minutes, me demandant à voix basse de rester les yeux fermés, que ce serait mieux pour moi. Sans doute, penserait-on que ce bref intermède permettrait de reprendre ses esprits mais le corps érotisé tout entier, le restait. Dans son attente indistincte, il interdisait toute pensée, logique ou non et restait comme suspendu par un fil invisible et résilient à la main surnaturelle et ...
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